Marine Le Pen s’est moquée de Florian Philippot ce dimanche sur BFMTV, l’appelant à s’occuper "de sa structure et du nombre de ses adhérents". "Florian Philippot ne représente que lui-même", a-t-elle par ailleurs estimé, quelques semaines après la démission de l’ex-vice-président du FN qui se consacre désormais à son parti Les Patriotes. Depuis, tous deux s’affrontent et se lancent des piques par médias interposés.
Invité sur BFMTV ce dimanche, Maël de Calan a vivement critiqué le discours de Laurent Wauquiez, l’un de ses adversaires dans la course à la présidence des Républicains. Le candidat a estimé qu’il représentait celui d’une "droite des slogans qui se referme et qui ne peut pas gagner".
Jean-Luc Mélenchon achève sa visite en Grèce ce dimanche, après un déplacement à Lisbonne la semaine dernière. Son mouvement se cherche des alliés à Athènes avec un rêve, celui d’une Europe Insoumise. Et en ligne de mire les élections européennes de 2019.
Invité sur BFMTV ce dimanche, Philippe Poutou a jugé sévèrement le bilan des premiers mois du mandat d’Emmanuel Macron. Le porte-parole du NPA a estimé que "pendant la campagne, il avait ce côté un peu gentil, même pas réac par rapport à d’autres candidats". Selon lui, "la politique mise en œuvre" par le chef de l’État est "au service des riches" et prouve qu’il "ne respecte pas sa parole".
Invité sur BFMTV ce dimanche, Philippe Poutou a constaté un "état de faiblesse" et une "résignation qui se généralise", responsables selon lui du manque d’engouement pour la lutte sociale contre les réformes libérales que le gouvernement met en place. Le porte-parole du NPA estime que "l’on ne croit plus qu’on puisse changer les choses collectivement" face à "une propagande ultra-libérale".
Emmanuel Macron a affirmé vendredi en Guyane que "le rôle de l'Etat" n'était pas de "tenir des engagements irréalistes" ni de "céder à des pressions, quelles qu'elles soient, en particulier lorsqu'elles n'ont pas la légitimité démocratique". "Les interlocuteurs, ce sont les élus de la République", a déclaré lors d'un point presse à Cayenne le président de la République, en réaction aux manifestations organisées jeudi, au premier jour de sa visite, par le collectif Pou Lagwiyann dékolé ("Pour que la Guyane décolle").
"La République ne cède pas aux gens en cagoule…" L'échange tendu entre Macron et un journaliste
Gérard Collomb a lancé samedi depuis La Rochelle la "grande concertation" sur la police de sécurité du quotidien. Le ministre de l'Intérieur a expliqué que ce serait une "police sur-mesure". La PSQ fait partie des grands chantiers sécuritaires d'Emmanuel Macron, dont les premières expérimentations sont annoncées en janvier 2018.
Jean-Luc Mélenchon a reconnu, ce samedi alors qu’il était en visite à Athènes, que "pour l’instant Emmanuel Macron a le point", quant à l’application de ses réformes libérales. Le député insoumis a par ailleurs estimé que le pays vivait "un moment étrange" où "l’avalanche devrait arriver, mais elle n’a pas lieu". Selon lui, "le Président surveille le pays comme le lait sur le feu". Pour autant, le candidat malheureux à la présidentielle ne s'avoue pas vaincu.
Mounir Mahjoubi a commenté, ce dimanche sur BFMTV, les propos polémiques d’Emmanuel Macron, qui lors de sa visite en Guyane a déclaré "ne pas être le Père Noël". Le secrétaire d’Etat chargé du numérique a assuré qu’il n’avait aucun "problème" avec cette expression, ajoutant par ailleurs que "le Père Noël ce sont de fausses promesses".
Mounir Mahjoubi a chanté les louanges de Christophe Castaner, ce dimanche sur BFMTV, alors qu’Emmanuel Macron a demandé au porte-parole du gouvernement de prendre la direction de La République en Marche. Le secrétaire d’État chargé au numérique a expliqué que "monsieur Castaner a cette qualité de rendre les autres plus forts".
Alors qu’il visitait les citoyens de la Guyane jeudi, Emmanuel Macron a déclaré qu’il n’était pas le "Père Noël". Une formule polémique et que le chef de l’État avait déjà employée plusieurs fois auparavant, même lorsqu’il était candidat à la présidence de la République.
Alors qu'il visitait un quartier sensible de Cayenne pendant son déplacement en Guyane vendredi soir, Emmanuel Macron a reconnu des effluves de cannabis, prévenant les jeunes autour de lui que ça n'allait pas les "aider à bien travailler à l'école".
Invitée sur BFMTV ce dimanche, Marine Le Pen a évoqué les expressions utilisées par Laurent Wauquiez depuis qu’il est en campagne pour la présidence des Républicains et qui ressemblent étrangement au lexique auquel le FN a toujours eu recours. "C’est un bel hommage que Laurent Wauquiez nous rend", a-t-elle déclaré, s’interrogeant néanmoins sur la sincérité de ces propos.
Invitée sur BFMTV ce dimanche, Marine Le Pen a commenté la séquence politique de la visite d’Emmanuel Macron dans un quartier sensible de Cayenne. Le chef de l’État avait alors senti des effluves de cannabis et l’avait fait remarquer sur un ton qui a déplu à la présidente du FN. "Monsieur Macron préfère aller dans des quartiers où pullule le trafic de drogue en rigolant parce qu’il sent des odeurs de cannabis", a-t-elle fustigé, ajoutant que la communication du locataire de l’Élysée perdait en qualité.
A l'instar d'autres figures de droite, l'ancien patron de l'UMP ne cacherait plus son bon ressenti sur le nouveau président de la République. Au point même de lui donner, déjà, de bonnes chances de réélection.
Emmanuel Macron entame ce jeudi une visite de deux jours en Guyane afin de réaffirmer l’engagement de l’Etat en faveur de ce territoire, six mois après le mouvement social qui avait paralysé le département français. Sur place, le président s'est montré sincère, en indiquant qu’il n’était pas "le Père Noel". "Je suis ici avec de l’ambition" mais "pas des promesses", a signalé le chef de l’Etat.
Emmanuel Macron a cherché à rassurer les Guyanais, ce vendredi, en affirmant que l'État respecterait son engagement d'investir plus d'un milliard d'euros en Guyane, tout en affichant sa fermeté après les heurts survenus la nuit précédente à Cayenne. Le Président est également allé à la rencontre de la population en se rendant dans deux quartiers sensibles de Cayenne.
Jacques Sauvageot, l'un des leaders de mai 68 et ancienne figure du PSU, est mort samedi des suites d'un accident de la circulation qui a eu lieu en septembre.
Emmanuel Macron est arrivé jeudi à Cayenne, en Guyane. En marge de sa venue, des affrontements entre forces de l'ordre et manifestants ont éclaté, ces derniers réclamant un rendez-vous avec le chef de l'Etat. Ils se sont rassemblés devant la préfecture, où ils ont écarté une première série de barrières pour se rapprocher du bâtiment. Les forces de l'ordre ont répliqué à coups de gaz lacrymogènes pour disperser la foule.
Des échauffourées ont éclaté jeudi soir à Cayenne, en Guyane, en marge de la visite d'Emmanuel Macron. Les manifestants, venus pour réclamer le respect des accords de Guyane, ont pu être énervés par la sortie du chef de l'Etat, qui a estimé ne "pas être le Père Noël, car les Guyanais ne sont pas des enfants".
Bernard Cazeneuve était ce jeudi dans une libraire proche de Solférino pour dédicacer son livre "Chaque jour compte, 150 jours à Matignon". De nombreux admirateurs sont venus le voir. Sur place, certains ont jugé que l'ancien Premier ministre aurait pu prendre la tête du Parti socialiste .Mais Bernard Cazeneuve a tenu à couper court à toutes spéculations. "Il n'en est pas question une minute, il faut une nouvelle génération", a-t-il estimé.
Il a été un cadre du Parti socialiste, un artisan du congrès d'Epinay et le concepteur du logo du mouvement: une rose dans un poing serré. Didier Motchane est mort ce dimanche, à 86 ans, annonce Le Monde.
Il a été un cadre du Parti socialiste, un artisan du congrès d'Epinay et le concepteur du logo du mouvement: une rose dans un poing serré. Didier Motchane est mort ce dimanche, à 86 ans, annonce Le Monde.
Alors qu'il a été écarté de sa famille politique mardi dernier, Edouard Philippe se lâche sur Les Républicains.