Le député Nouvelle gauche Luc Carvounas a exprimé sa colère ce mardi à l'Assemblée envers la politique menée par le gouvernement pour les services publics au moment où les fonctionnaires défilent en France pour protester notamment contre la réduction du nombre de postes dans la fonction publique ou bien encore contre le gel du point d'indice.
En faisant ses premiers pas de député à l'Assemblée, Jean-Luc Mélenchon s'était demandait devant les caméras si "on est obligé de supporter ça" en regardant le drapeau européen flotter dans l'hémicycle. Depuis, la France Insoumise a déposé un amendement pour le retirer. Amendement qui a été rejeté. Le président en déplacement en Allemagne a coupé court à toute nouvelle initiative de ce genre puisqu'il a annoncé que la France reconnaîtra les symboles de l'Europe qui, même si cela est surprenant pour un pays fondateur, ne l'étaient toujours pas.
L'ex-députée FN du Vaucluse a quitté la politique mais reste au centre du jeu.
L'émanation politique de la Manif pour tous organise la "journée de la France silencieuse" le 15 octobre en présence de plusieurs membres des Républicains.
Invité ce mardi de Jean-Jacques Bourdin sur BFMTV et RMC, Éric Woerth a estimé que la grève des fonctionnaires n’était pas "justifiée" ce mardi. Pour le député LR, "on doit continuer à baisser les effectifs" et "mieux les rémunérer".
"Chacun fait ce qu’il souhaite et on a le droit de manifester, heureusement", a déclaré ce mardi 10 octobre Éric Woerth, président LR de la commission des finances de l’Assemblée. "Mais je ne pense pas que cette grève soit justifiée", a-t-il poursuivi alors que les fonctionnaires se mobilisent dans la journée.
Invité ce mardi de Jean-Jacques Bourdin sur BFMTV et RMC, Éric Woerth est revenu sur l’état actuel des Républicains avant la présidence du parti. "On n’existe pas, on est en convalescence, on a pris des claques", a reconnu le président de la commission des finances de l’Assemblée nationale.
Sur BFMTV et RMC, l'ancien ministre LR s'en prend à ses collègues qui ont rejoint Emmanuel Macron.
En plus de leur duel sur Twitter, Jean-Luc Mélenchon et Manuel Valls ont eu des échanges très vifs au sein même de l'Assemblée nationale, comme le raconte Le Canard enchaîné.
C’est la dernière ligne droite dans la quête de parrainages: outre Laurent Wauquiez, le grand favori pour la présidence du parti, deux autres candidats au moins devraient être en mesure, d'ici demain 20h, de déposer le nombre de parrainages nécessaires. Le président de la région Auvergne-Rhône-Alpes devrait se confronter à au moins deux autres personnalités du mouvement, Florence Portelli et Maël de Calan.
"Le Premier ministre est assez transparent. Il présente une pédagogie plutôt lente(…) Ses débuts de discours sont vraiment bien, la suite fait un peu bailler", a estimé ce mardi 10 octobre Christophe Barbier, éditorialiste politique à BFMTV, à propos de la rentrée politique plutôt "timide" d’Édouard Philippe. "Il faut qu’il trouve une nouvelle forme de charisme, être moins triste et un peu plus joyeux", a-t-il poursuivi. "Il faudrait d’abord qu’il se rase et change de manière de parler", lui a ensuite conseillé Christophe Barbier.
Selon le Canard enchaîné en kiosque ce mercredi, l'avocate Raquel Garrido, figure des Insoumis et chroniqueuse télé, n'a pas déclaré de revenus à l'Urssaf en 2016 et a reçu une "contrainte" de l'organisme d'un montant d'environ 6.000 euros. La femme politique assure que cette réclamation n'est plus d'actualité.
Ministre, candidat, puis président: Emmanuel Macron a toujours défendu la concentration du service public sur les principales missions de l'Etat, dont la gestion serait davantage inspirée du privé.
Monique Iborra, députée LaREM, est pointée du doigt par le site Mediacités pour s'être appuyée sur la société de communication de sa fille lors des législatives de 2012 et l'avoir embauchée comme assistante parlementaire pendant les cinq ans qui ont suivi.
Le secrétaire d'Etat a fait cette proposition en marge d'une visite sur des sites industriels en Saône-et-Loire ce mardi.
Sébastien Lecornu et Gérald Darmanin, mis en demeure par Les Républicains, refusent de quitter le parti. Tous deux demandent à être entendus.
Les présidents des sept départements franciliens ont prévu ce mardi de faire des propositions sur le projet de réorganisation de la Métropole du Grand Paris. Emmanuel Macron envisage la fusion des Hauts-de-Seine, du Val-de-Marne et de la Seine-Saint-Denis. Un dessein qui rencontre de nombreuses oppositions.