Emmanuel Macron, à l'occasion du conseil européen à Bruxelles, a réaffirmé sa "volonté de définir une doctrine européenne rapidement" concernant les géants du numérique. "Il est tout à fait possible de combiner notre compétitivité européenne et notre capacité à créer une taxation du numérique", a-t-il déclaré, rappelant que "les acteurs du numérique jouissent aujourd'hui d'une situation de concurrence déloyale".
Emmanuel Macron, à l'occasion du conseil européen à Bruxelles, a estimé que "nous sommes loin du compte sur le plan des engagements financiers" pris par le Royaume-Uni dans le cadre du Brexit. "Si nous souhaitons être sûr que personne ne devra payer davantage, et que le Royaume-Uni honorera l'ensemble de ses engagements, je dirai qu'aujourd'hui nous sommes loin d'avoir atteint les engagements financiers nécessaires", a-t-il insisté.
Edouard Philippe et son ancien mentor Alain Juppé ont fait assaut d'amabilités vendredi à Bordeaux. Même s'ils ont échangé régulièrement par téléphone au cours des derniers mois, l'actuel et l'ancien Premiers ministres n'étaient pas apparus publiquement ensemble depuis la nomination à Matignon d'Edouard Philippe, lieutenant d'Alain Juppé pendant des années. Les deux hommes se sont ensuite rendus à l'hôtel de Bordeaux métropole, présidée par Alain Juppé, pour une "réunion de travail" avec une cinquantaine d'élus de tous bords.
"Ce n'est pas facile de créer un mouvement politique mais en on a des soutiens, déjà pas mal d'élus, on a plein d'énergie." Florian Philippot met son mouvement en action. Après avoir transformé Les Patriotes du statut d'association en parti politique, le plus crucial commence pour l'ancien vice-président du FN. L'une des premières pierres posées à la fondation de sa formation : un QG parisien pour rassembler le parti et les membres venus du FN. En tout, les Patriotes revendiquent 4.000 adhérents. Читать дальше...
Ce jeudi soir, sur le plateau de L'Emission politique sur France 2, la présidente du Front national a évoqué le débat d'entre-deux tours de la présidentielle où sa performance avait été jugée ratée, jusque dans les rangs de ses partisans. Elle a assuré que l'événement n'avait pas amoindri la confiance que les Français pouvaient avoir en elle.
L'ancien candidat du PS à la présidentielle revendique "près de 30.000 adhérents" et pourrait "passer devant le PS", selon lui.
Après avoir vu son numéro diffusé sur Internet, le chef de l'Etat a choisi d'en changer. Parfois pour la plus grande surprise de ses ministres.
Eric Dillies, qui mène le Front national lillois, a déclaré sa candidature vendredi à la présidence du FN. Il réclame un délai supplémentaire car il n'a plus que quelques heures pour déposer les parrainages nécessaires.
Alors que l’Élysée songe à commémorer les 50 ans de Mai 68, Christophe Barbier, éditorialiste politique à BFMTV a estimé ce vendredi que cette période avait également entraîné "des errances et des erreurs monumentales". "Il y a eu du très bon et du très très très mauvais et je ne vous parle pas du rapport au travail. C’est le moment où on a commencé à casser le goût de l’effort chez les Français", a-t-il poursuivi.
La présidente du Front national a reconnu avoir "raté" son débat de l'entre-deux tours, face à Emmanuel Macron. " J'ai raté un rendez-vous avec les Français", a-t-elle estimé ce jeudi soir, lors de l'Emission politique sur France 2. "J'assume l'intégralité des responsabilités parce que je suis le chef", a également affirmé Marine Le Pen.
Alors que Marine Le Pen touche 2.000 euros de plus par mois depuis juillet en tant que présidente du Front national, elle a expliqué jeudi 19 octobre sur France 2 dans l’Émission politique qu’elle en avait "besoin".
Invité ce vendredi de Jean-Jacques Bourdin sur BFMTV et RMC, Nadine Morano s'est "forcée à regarder" l'Emission politique sur France 2 ce jeudi soir, dont Marine Le Pen était l'invitée. L'eurodéputée a notamment fustigé son "incompétence à propos de l'euro". "Elle sort, elle sort plus (…) Les Français ne veulent pas de Marine Le Pen en tant que Présidente", a-t-elle affirmé.
Nadine Morano est fidèle à son parti Les Républicains. Pour l'eurodéputée, ses collègues constructifs à l'égard d'Emmanuel Macron ou qui sont entrés au gouvernement ne méritent aucune considération. "'Constructif', c'est le mot de code pour traître !", affirme-t-elle vendredi sur BFMTV et RMC. Et sans surprise Nadine Morano se montre favorable à leur expulsion de Les Républicains.
Florian Philippot, ex-numéro deux du Front national et actuellement président des Patriotes, a abondamment critiqué ce vendredi le passage télévisé de Marine Le Pen la veille dans L'Emission politique sur France 2. Il a, plus largement, contesté la nouvelle orientation défendue par son ancienne patronne.
L'ex-assistante parlementaire du député de Moselle raconte à France info avoir été victime de "harcèlement sexuel" et d'"agression sexuelle". Elle a porté plainte pour ces mêmes faits.
Ex-bras droit d'Alain Juppé, Edouard Philippe s'est rendu à Bordeaux ce vendredi après-midi. Pour la première fois depuis son arrivée à Matignon, le Premier ministre s'est affiché aux côtés du maire de la ville, son ancien mentor. Les deux hommes se sont rendu compliment pour compliment devant la presse.
Le débat sur la transformation de l'impôt sur la fortune (ISF) agite les députés de la majorité. Certains d'entre eux expriment leur malaise par rapport à la proposition très symbolique du gouvernement d'extraire de l'ISF les yachts, les lingots d'or ou les voitures de luxe. Peu à peu, les langues se délient parmi les députés.
Invité ce jeudi sur BFMTV, le directeur de la publication Atlantico a qualifié l’ISF d’"impôt idiot" et de "poison de la vie politique depuis 30 ans". Pour Jean-Sébastien Ferjou, la réforme de l’impôt sur la fortune est "plus symbolique que bénéfique". "Une personne âgée qui paye de l’ISF, vous croyez que demain elle va aller investir dans des startups ? Non, elle va prendre plus d’assurances vie", a-t-il assuré. Le journaliste estime d’ailleurs qu’il aurait été plus simple de "neutraliser le barème".
Invité sur BFMTV ce jeudi, Boris Vallaud a estimé que le budget présenté par le gouvernement n’est pas "juste". Pour le député Nouvelle Gauche des Landes, les riches en seront les seuls bénéficiaires, tandis que les efforts pèseront plutôt sur les classes moyennes et populaires. "Il y a un certain nombre de promesses qui ne sont pas tenues", a-t-il assuré, rappelant les promesses de campagne d’Emmanuel Macron.