Le président français a réagi depuis la Guyane au vote du parlement catalan en faveur de l’indépendance de la région. Emmanuel Macron a ainsi rappelé n’avoir "qu’un interlocuteur en Espagne, le premier ministre Rajoy" et a tenu à lui adresser son "soutien" dans sa démarche de vouloir faire "respecter les règles constitutionnelles". Le chef de l’Etat n’a par ailleurs pas souhaité faire de commentaires sur des "sujets intérieurs".
Le début de la visite d'Emmanuel Macron à Cayenne, en Guyane, s'est déroulée sous tension. Le président de la République avait affirmé dès son arrivée qu'il "n'est pas le Père Noël". Une réflexion qui n'a pas plu aux Guyanais. Des incidents ont alors éclaté près de la préfecture et du commissariat de Cayenne.
Emmanuel Macron a affirmé vendredi en Guyane que "le rôle de l'Etat" n'était pas de "tenir des engagements irréalistes" ni de "céder à des pressions, quelles qu'elles soient, en particulier lorsqu'elles n'ont pas la légitimité démocratique". "Les interlocuteurs, ce sont les élus de la République", a déclaré lors d'un point presse à Cayenne le président de la République, en réaction aux manifestations organisées jeudi, au premier jour de sa visite, par le collectif Pou Lagwiyann dékolé ("Pour que la Guyane décolle").
"La République ne cède pas aux gens en cagoule…" L'échange tendu entre Macron et un journaliste
Gérard Collomb a lancé samedi depuis La Rochelle la "grande concertation" sur la police de sécurité du quotidien. Le ministre de l'Intérieur a expliqué que ce serait une "police sur-mesure". La PSQ fait partie des grands chantiers sécuritaires d'Emmanuel Macron, dont les premières expérimentations sont annoncées en janvier 2018.
Alors qu'il visitait un quartier sensible de Cayenne pendant son déplacement en Guyane vendredi soir, Emmanuel Macron a reconnu des effluves de cannabis, prévenant les jeunes autour de lui que ça n'allait pas les "aider à bien travailler à l'école".
Emmanuel Macron entame ce jeudi une visite de deux jours en Guyane afin de réaffirmer l’engagement de l’Etat en faveur de ce territoire, six mois après le mouvement social qui avait paralysé le département français. Sur place, le président s'est montré sincère, en indiquant qu’il n’était pas "le Père Noel". "Je suis ici avec de l’ambition" mais "pas des promesses", a signalé le chef de l’Etat.
Emmanuel Macron a cherché à rassurer les Guyanais, ce vendredi, en affirmant que l'État respecterait son engagement d'investir plus d'un milliard d'euros en Guyane, tout en affichant sa fermeté après les heurts survenus la nuit précédente à Cayenne. Le Président est également allé à la rencontre de la population en se rendant dans deux quartiers sensibles de Cayenne.
Emmanuel Macron est arrivé jeudi à Cayenne, en Guyane. En marge de sa venue, des affrontements entre forces de l'ordre et manifestants ont éclaté, ces derniers réclamant un rendez-vous avec le chef de l'Etat. Ils se sont rassemblés devant la préfecture, où ils ont écarté une première série de barrières pour se rapprocher du bâtiment. Les forces de l'ordre ont répliqué à coups de gaz lacrymogènes pour disperser la foule.
Des échauffourées ont éclaté jeudi soir à Cayenne, en Guyane, en marge de la visite d'Emmanuel Macron. Les manifestants, venus pour réclamer le respect des accords de Guyane, ont pu être énervés par la sortie du chef de l'Etat, qui a estimé ne "pas être le Père Noël, car les Guyanais ne sont pas des enfants".
Bernard Cazeneuve était ce jeudi dans une libraire proche de Solférino pour dédicacer son livre "Chaque jour compte, 150 jours à Matignon". De nombreux admirateurs sont venus le voir. Sur place, certains ont jugé que l'ancien Premier ministre aurait pu prendre la tête du Parti socialiste .Mais Bernard Cazeneuve a tenu à couper court à toutes spéculations. "Il n'en est pas question une minute, il faut une nouvelle génération", a-t-il estimé.
Le chef de l'Etat, en visite en Guyane, s'est rendu vendredi soir dans deux quartiers chauds de Cayenne.
Dans les colonnes du Parisien, l'ancien Premier ministre se montre alarmiste face aux événements qui agitent la Catalogne. "L'histoire peut redevenir tragique", prévient-il.
Nicolas Hulot ne nie pas les difficultés politiques pour défendre l'écologie au sein du gouvernement, mais n'en fait pas pour autant un motif de départ du gouvernement.
L'ancienne sénatrice et ministre de l'Écologie de Jacques Chirac est morte à 76 ans.
En Guyane, le chef de l'Etat a chapitré des habitants en reconnaissant une odeur de cannabis.
Le chef de file des Constructifs, menacé d'exclusion par une partie des Républicains, demande la fin des "invectives" au sein de sa famille politique.
En pleine intervention à l'Assemblée nationale, François Ruffin, député France insoumise de la Somme exaspéré d'être interrompu par la présidente de la session en a balancé son micro. Quelques instants avant, il n'avait cessé d'être interrompu par d'autres députés.