En visite au Palais de la Femme ce mercredi, Arnaud Montebourg a condamné "la violence" de la gifle infligée à Manuel Valls par un jeune homme durant le déplacement de son adversaire en Bretagne, la veille. "Le débat politique ne peut pas aller à ce point dans la violence", a estimé le candidat à la primaire de la gauche.
Interrogé sur les soupçons de sexisme qui planent sur lui, Arnaud Montebourg a reconnu "des maladresses" ce mercredi au Palais de la Femme. "Je n’ai pas besoin de changer, j’ai toujours été attentif à ces questions", a néanmoins assuré le candidat de la primaire de la gauche en parlant de la cause féminine. Il a d’ailleurs insisté sur le militantisme féministe de sa famille. "Si vous avez des doutes, regardez mon CV", a-t-il affirmé.
Lors d'un déplacement à Lamballe, en Bretagne, ce mardi, un homme a donné une gifle à Manuel Valls. La scène s'est déroulée quand l'ancien Premier ministre, accompagné du ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian, sortait de la mairie de cette commune des Côtes-d'Armor. Une équipe de l'émission Quotidien sur TMC a filmé la scène, vue de face.
Invité de Jean-Jacques Bourdin, ce mercredi, sur RMC et BFMTV, Gérard Collomb a appelé le futur vainqueur de la primaire de gauche à se retirer au profit d'Emmanuel Macron. Le maire de Lyon et principal soutien de l'ancien ministre de l'Économie estime que ce dernier est le seul candidat du "camp progressiste" à pouvoir gagner l'élection présidentielle: "J'appellerai le vainqueur de la primaire à se retirer et je pense même qu'il le fera naturellement ".
Le premier tour de la primaire de la gauche approche à grands pas et la campagne de Manuel Valls devient de plus en plus compliquée. Ce mardi, en déplacement en Bretagne, l'ancien Premier Ministre s'est fait giflé par un jeune homme. Cette agression n'est pas la première pour Manuel Valls depuis le début de sa campagne. En décembre, à Strasbourg, il avait déjà été enfariné par un opposant à la loi Travail.
Un auditeur de France Inter a interpellé le candidat de la primaire à gauche de manière très directe ce mercredi matin. "Salut Manu, je ne sais pas si tu trouves ça normal ou pas. La claque, je pense qu’on est 66 millions à vouloir te la mettre. Il a été parfait le bonhomme." Manuel Valls lui a tout de mêm répondu : "Quand sur une antenne, on fait profession de la violence, il y a quelque chose qui bascule (…) Je suis celui qu’on vise car j’ai été aux responsabilités, parce que j’ai dû prendre des... Читать дальше...
Gérard Collomb, maire de Lyon et soutien d'Emmanuel Macron, a affirmé, au micro de Jean-Jacques Bourdin ce mercredi sur RMC et BFMTV, que le programme du fondateur du mouvement En Marche sera connu à la fin du mois de février. Il en a également profité pour révéler le nom du directeur de la campagne d'Emmanuel Macron: il s'agit de Jean-Marie Girier, l'ancien chef de cabinet du maire de Lyon.
Invité de Jean-Jacques Bourdin, ce mercredi, sur RMC et BFMTV, Gérard Collomb, maire de Lyon et soutien d'Emmanuel Macron, a condamné l'agression dont a été victime, mardi, Manuel Valls en Bretagne: "On ne peut pas régler les choses par la violence". Le maire de Lyon a cependant estimé qu'il comprenait la frustration de ces "gens en colère" et que dans la même situation, il n'aurait pas porté plainte comme l'a fait l'ancien Premier Ministre.
Malgré la vague de froid que connaît la France cette semaine et la surconsommation énergétique, la ministre de l'Écologie a promis ce mercredi qu'il n'y aurait "pas de coupure d'électricité". "Aujourd'hui, les énergies renouvelables (l'éolien et le solaire) vont produire l'équivalent de 8 réacteurs nucléaires (…) Le nouveau système énergétique français permet de résister aux vagues de froid", a assuré Ségolène Royal.
Après la gifle reçue ce mardi par Manuel Valls lors d'un déplacement en Bretagne, la question de la sécurité des candidats en campagne se pose. Mais qui est en charge de celle-ci ? Gardes du corps privés ou service de protection rapprochée de la police, ces hommes doivent être attentifs au moindre mouvement lors des déplacements des candidats.
Officiellement candidat à la présidentielle depuis le 5 décembre, Manuel Valls a depuis mené une campagne de terrain compliquée. Cela a commencé dès son premier meeting le 7 décembre à Audincourt dans le Doubs. L'ancien Premier ministre a été pris à partie par une militante mécontente, qui lui reprochait "un paquet de sottises". Deux semaines plus tard, lors d'un déplacement à Strasbourg, Manuel Valls s'est fait enfariner avant d'entrer dans un café par un anti 49.3. Enfin, ce mardi, un jeune homme... Читать дальше...
Soutien déclaré d'Emmanuel Macron pour l'élection présidentielle, Gérard Collomb a déclaré ce matin, que l'un de ses proches allait prendre la direction de la campagne de l'ancien ministre de l'économie.
Arnaud Montebourg, Benoît Hamon, Manuel Valls, les trois favoris à la primaire à gauche, donnaient chacun un meeting ce mercredi soir. C'était l'occasion de jauger les forces en présence et les stratégies en vigueur à quelques jours du premier tour du scrutin.
L'ancienne candidate à la primaire de la droite, élue dans le 14e arrondissement de Paris a finalement été investie mardi sur la circonscription de François Fillon. Une circonscription qui était notamment convoitée par Rachida Dati.
Gérard Collomb, sénateur-maire PS de Lyon et premier soutien d'Emmanuel Macron dans la course à la présidentielle, était ce mercredi matin l'invité de Jean-Jacques Bourdin sur BFMTV et sur RMC.
L'ancien ministre de l'Education et député européen a recentré son combat en direction de la droite et du Front national. Il refuse tout défaitisme.
L'ancien Premier ministre, qui a failli recevoir une gifle de la part d'un homme mardi en Bretagne, a été interpellé en direct par un auditeur de France Inter, qui a trouvé ce geste "vraiment trop bon".
Vincent Peillon, à l'antenne de BFMTV, s'est défendu de tout angélisme.
Invité de BFMTV ce mercredi, Vincent Peillon a reproché à Manuel Valls d'user trop souvent du mot "guerre".
Le sondage "L'Opinion en direct" piloté par Elabe pour BFMTV place Benoît Hamon et Manuel Valls tous deux à 28% des souhaits de victoire parmi les électeurs de la primaire à gauche dimanche. Par ailleurs, 43% des sondés déclarent s'intéresser à ce scrutin.
Pour faire face à la vague de froid qui fait frissonner la France entière, Anthony Morel journaliste high-tech sur BFMTV est allé dénicher des objets connectés permettant de rester au chaud.
Le candidat de Debout la France ne renie en rien la théorie d'extrême droite du "grand remplacement" de la population. Au contraire: il la reprend à son compte et la justifie dans plusieurs publications récentes.