Manuel Valls, Benoît Hamon, Arnaud Montebourg et Vincent Peillon ont été à la rencontre de leurs soutiens après le deuxième débat de la primaire à gauche ce dimanche. L’ancien Premier ministre, qui a bu une bière, a assuré à ceux qui le suive que c’était à eux de "juger" sa performance. Le député des Yvelines a quant à lui tenu un discours tandis que l'ex-ministre de l'Economie s’est adonné à quelques selfies.
François Hollande est allé voir Michel Drucker sur scène au théâtre des Bouffes-Parisiens ce dimanche alors que se tenait dans la même soirée le deuxième débat de la primaire à gauche. "Un clin d’œil" de la part du chef de l’Etat, selon Benoît Hamon, invité sur BFMTV et RMC ce lundi. En effet, la confrontation entre les candidats à la présidentielle de 2017 s’est tenue au Studio Gabriel, à Paris, lieu où le comédien français tourne son émission "Vivement Dimanche".
Invité ce lundi de Jean-Jacques Bourdin sur BFMTV et RMC, Benoît Hamon est revenu sur les bonnes affluences aux meetings d'Emmanuel Macron, partout en France. "Il a un discours, un charisme qui lui permet de réunir des foules", a affirmé le candidat à la primaire de la gauche. "Mais viendra le temps du débat politique", prévient-il. "Nous verrons à ce moment-là quelle est l'identité et l'ADN d'Emmanuel Macron", a nuancé Benoît Hamon.
Au lendemain du deuxième débat de la primaire de la gauche, le candidat Arnaud Montebourg a évoqué ce lundi ses propositions en matière de sécurité. "Nous n'avons pas besoin d'état d'urgence pour protéger les Français", a-t-il estimé, souhaitant l'arrêter. "Nous avons besoin d'investir dans la police, de transformer un certain nombre de règles dans l'arsenal juridique", a renchéri l'ancien ministre lors d'une visite au commissariat des Mureaux, dans les Yvelines.
Jean-Luc Mélenchon a annoncé qu’il allait tenir le 5 février prochain le premier meeting holographique en direct depuis Lyon. Interrogé sur la possible création d’un hologramme à son effigie, Arnaud Montebourg, en déplacement aux Mureaux, dans les Yvelines, ce lundi, a assuré que le sien "allait se démultiplier". "Préparez-vous", a-t-il ensuite lancé avant de déclarer être "hologrammique, ce n’est pas le monopole de quelques-uns".
Il était de son propre aveu parti pour soutenir Manuel Valls, mais il pourrait finalement porter son choix sur le fondateur de En marche!
Le leader d'En Marche! parasite la primaire à gauche. En plein week-end clé pour les candidats socialistes et écologistes, Emmanuel Macron est parvenu à faire parler de lui et à donner une nouvelle démonstration de son succès, cette fois à Lille, devant plus de 4.000 personnes.
Invitée ce lundi sur RTL, la présidente du Front national et candidate à la présidentielle s'est agacée de l'engouement des médias pour celui qu'elle nomme le "candidat de l'ultralibéralisme".
Benoît Hamon, député PS des Yvelines et candidat à la primaire à gauche, est ce lundi matin l'invité de Jean-Jacques Bourdin sur BFMTV et RMC.
Manuel Valls, invité de BFMTV ce lundi, a expliqué qu'il souhaite une économie plus verte et veut doubler le budget dans le domaine de la santé publique.
Après les propos de Donald Trump sur l'accueil des réfugiés en Allemagne et le Brexit, François Hollande a rappelé au président élu des Etats-Unis que l'Europe "n'a pas besoin" de ses conseils.
Il ne se situe pas "dans la perspective" d'un ralliement à Emmanuel Macron. Ce lundi sur BFMTV, Manuel Valls a répété qu'il "croit en cette primaire" de la gauche.
Le deuxième débat de la primaire à gauche a eu lieu ce dimanche sur BFMTV et RMC. Benoît Hamon, Vincent Peillon, Arnaud Montebourg, Sylvia Pinel, Manuel Valls, François de Rugy et Jean-Luc Bennahmias ont échangé quelques poignées de main lors des répétitions, trois jours avant le grand soir. Fiches bristol, feuilles A4 volantes, ils avaient tous leurs antisèches pour être sûr de ne rien oublier face à leurs concurrents. Après le débat, l’ex-Premier ministre, largement ciblé durant les 2 heures, s’est... Читать дальше...
Manuel Valls a été la cible privilégiée de ses concurrents lors du deuxième débat de la primaire à gauche ce dimanche sur BFMTV et RMC. L’ancien Premier ministre, d’abord pris à partie par Vincent Peillon sur sa politique d’accueil des migrants, a ensuite dû faire face à Arnaud Montebourg concernant la directive européenne des travailleurs détachés. Isolé durant une trentaine de minutes, Manuel Valls a été plutôt épargné durant le reste de la confrontation.
Arnaud Montebourg a été jugé le plus convainquant du deuxième débat de la primaire à gauche dimanche soir par 29% des personnes interrogées, selon un sondage Elabe pour BFMTV. L’ancien ministre de l’Economie s’est placé devant Manuel Valls et Benoît Hamon. En revanche, le député des Yvelines est passé en tête du côté des sympathisants de gauche.
François Hollande n’était pas devant sa télé ce dimanche soir pour le deuxième débat de la primaire à gauche sur BFMTV et RMC. Le président était au théâtre des Bouffes-Parisiens pour voir son ami Michel Drucker sur scène. "Je ne pensais pas qu'il viendrait", a confié l'animateur vedette. Lors du premier débat, François Hollande avait regardé depuis l'Elysée le début avant de se rendre à un dîner privé. Pour le troisième, l'agenda du président de la République est déjà réservé: il sera en voyage officiel en Colombie.
Un membre de son équipe a d'ores et déjà donné le ton: "On ne prendra pas les crevards". Si Emmanuel Macron séduit de plus en plus à gauche, le candidat d'En Marche! a posé les conditions au ralliement des socialistes.
Le candidat NPA à l’élection présidentielle revendiquait lundi seulement 200 parrainages d’élus sur les 500 nécessaires pour se présenter. Philippe Poutou lance un appel pour trouver des signatures.
A moins d'une semaine du premier tour de la primaire à gauche, certains évoquent déjà la possibilité pour le vainqueur de se ranger derrière Emmanuel Macron pour la présidentielle, afin d'éviter un duel entre François Fillon et Marine Le Pen pour le sommet de l'Etat.
Interrogé sur BFMTV, Manuel Valls a qualifié les propos de Donald Trump sur la politique migratoire allemande de "déclaration de guerre à l'Europe". Le candidat à la primaire à gauche y voit "une provocation".
De passage à Libération, Manuel Valls a affirmé que "l'idée ne lui viendra pas" de nommer François Hollande à Matignon.
Entre les confidences distillées par ses proches et ses critiques à peine voilées des candidats, François Hollande brille par son absence dans cette primaire de la gauche.
Les présentateurs météo sont conviés ce lundi au ministère de l'Ecologie pour être sensibilisés sur les gestes simples et utiles à conseiller pour réaliser des économies d'électricité.
En déplacement ce lundi dans un commissariat des Yvelines, Arnaud Montebourg a critiqué l'utilité de l'état d'urgence, en vigueur en France depuis les attentats du 13 novembre 2015.
Devenu un sérieux adversaire pour François Fillon, Emmanuel Macron est la cible des critiques des proches du candidat Les Républicains à la présidentielle. Tout en l'attaquant sur son héritage politique, l'équipe Fillon entend aussi lui reprocher son absence de programme précis.