Arnaud Montebourg, qui dévoilait ce lundi matin son organigramme de campagne, a nommé Guy Bedos président de son comité de soutien. "J’ai cru que c’était pour rire et je lui ai répondu ‘Alors je serai président avant toi’", a commenté l’humoriste sur BFMTV. Et de préciser : "Je suis libre. Je ne serai pas l’artisan d’une équipe de campagne comme un professionnel. Ce n’est pas mon métier. Je le soutiendrai chaque fois que je serai quelque part, à la télévision ou ailleurs. Mais je ne serai pas président de son (comité de soutien).
Alors qu’il présentait son programme économique ce mercredi, Arnaud Montebourg s’est positionné par rapport au sujet du revenu universel, l’une des thématiques fortes de la primaire organisée par le PS dont il est l’un des candidats. L’ancien ministre de l’Economie et du redressement productif s’est posé en défenseur "du salaire juste plutôt que du revenu universel", qu’il a qualifié de "débat intéressant" mais "irréalisable" dans un avenir proche.
Lors des vœux à la presse ce mercredi à Paris, Marine Le Pen a fait allusion à ce qu'a obtenu Donald Trump contre une délocalisation de Ford aux Etats-Unis. Le constructeur automobile a finalement renoncé à implanter l'une de ses usines au Mexique sous la pression du Président élu. "Le protectionnisme fonctionne donc lorsqu'il est porté par une volonté et que le pays dispose de sa souveraineté économique (…) C'est bon pour la réindustrialisation", a estimé la présidente du Front national.
Lors des vœux à la presse ce mercredi depuis son QG de campagne à Paris, Marine Le Pen a confié aux journalistes "ne pas se reconnaître" sous leurs plumes. "Mais c'est votre liberté", a concédé la présidente du Front national, évoquant par ailleurs quelques surprises dans l'actualité comme le Brexit ou l'élection de Donald Trump.
Arnaud Montebourg a évoqué le coût du travail ce mercredi, s’indignant de la façon dont "Amazon fait travailler les individus comme des robots" pour "tirer les prix vers le bas". Le candidat à la primaire organisée par le PS a ensuite martelé qu’il existait "une résistance humaine à l’excès de robotisation". "Je ne pense pas qu’on remplacera les taxis par des véhicules automatiques", a-t-il affirmé.
Lors de ses voeux à la presse mercredi, Marine le Pen candidate à la présidentielle, a affirmé qu'elle et son parti étaient "prêts, résolus et organisés" pour l'élection à venir, mais également pour le quinquennat en cas de victoire.
Soutien de Manuel Valls dans la primaire de la gauche, le maire d'Evry (Essonne) Francis Chouat a assuré que l'ex-chef de gouvernement assumait "l'ensemble du quinquennat" auquel il avait participé.
Un candidat à la présidentielle a besoin d'un bon slogan pour porter sa campagne. Manuel Valls vient d'ailleurs d'en changer. Le choix de ces quelques mots n'est pas anodin, car un slogan doit sonner juste et marquer les esprits. Dans la course à l'Elysée, certains, comme "La Force tranquille", de François Mitterrand, ont ainsi fait leur place, là où d'autres, comme "La France forte" de Nicolas Sarkozy, n'ont semble-t-il pas fonctionné.
Bruno Le Maire, invité ce mercredi de Jean-Jacques Bourdin, a admis avoir connu une défaite en 2016 lors de la primaire de la droite et du centre même si, aujourd'hui, cette "page est tournée". Sur BFMTV et RMC, le député de l'Eure a tenu à exprimer son soutien total à François Fillon qu'il considère comme "le meilleur candidat pour redresser notre pays".
Bruno Le Maire, invité ce mercredi de Jean-Jacques Bourdin sur BFMTV et RMC, a affirmé que François Fillon ne reviendrait pas sur le cumul des mandats s'il est élu. L'ancien candidat à la primaire de la droite et du centre s'est réjoui de cette décision selon laquelle un élu ne peut pas additionner plusieurs mandats électifs: "Pour moi, c'était un point qui n'était pas négociable et François Fillon a eu le courage de dire, haut et fort, qu'il ne reviendrait pas sur le cumul des mandats".
Invité ce mercredi de Jean-Jacques Bourdin sur BFMTV et RMC, Bruno Le Maire a qualifié de "bonne décision" la proposition de François Fillon de supprimer 500.000 emplois publics. "On peut le faire sans que le service public fonctionne moins bien en France", a estimé le député de l'Eure, préconisant notamment de réduire les effectifs dans la fonction publique territoriale.
Bruno Le Maire, invité ce mercredi de Jean-Jacques Bourdin sur RMC et BFMTV, a évoqué la question du conflit syrien. Il a notamment déploré que "l'avenir de la Syrie se négocie sans les puissances occidentales comme les États-Unis ou l'Europe". Selon le député LR, l'Europe ne doit pas apporter "de l'aide économique européenne à l'ensemble de la région si l'Union Européenne n'est pas présente à la table des négociations".
Le gouvernement est arrivé ce mercredi, uni et au complet, dans la cour de l’Elysée pour rejoindre le président et leur premier conseil des ministres de l’année. Le but : montrer un gouvernement uni et au travail alors que la campagne présidentielle va écourter et réduire la capacité de l’exécutif à agir comme l’explique notre journaliste politique Thomas Soulié.
Peu de sondages avaient prévu le Brexit en juin dernier, la victoire de Donald Trump à la dernière élection présidentielle américaine ou celle de François Fillon à la primaire de la droite et du centre. Devant ces récents échecs, la direction du Parisien a décidé ne pas commander de sondages pour les prochaines échéances. Ni pour la primaire de la gauche ni pour la présidentielle 2017.
Arnaud Montebourg a présenté son programme économique et sa stratégie pour l’emploi ce mercredi. Le candidat à la primaire de la gauche a indiqué que s’il arrivait au pouvoir il abrogerait la très controversée loi El Khomri. Il avait été l’un des fers de lance de la contestation contre ce texte au PS. "C’est une loi qui contient des dispositions qui font travailler plus en gagnant moins", a ainsi affirmé l’ancien ministre de l’Économie et du redressement productif.
Le député "Les Républicains" Hervé Mariton est actuellement hospitalisé à Chambéry, en Savoie, après avoir été victime d'un malaise durant ses vacances, ce dimanche. Son état de santé n'inquiète plus son entourage.
Manuel Valls a choisi un nouveau slogan pour sa campagne, le précédent ayant été jugé trop long et trop compliqué. Pour les candidats, choisir les quelques mots qui les représenteront n'est jamais tâche facile, si bien que certains préfèrent s'en passer, ou presque.
Le candidat à la présidentielle Jean-Luc Mélenchon a estimé qu’il fallait être "habile" avec Donald Trump, ce mercredi matin sur France Inter.
Au cours d'une balade à vélo dans le Var, Nicolas Sarkozy s'est emmêlé les rayons et a remonté le vieux port de Saint-Tropez à contresens. Rappelé à l'ordre par la police municipale, il est descendu de bicyclette.
Manuel Valls, candidat à la primaire de la gauche, était l'invité ce mercredi du journal de 20h de TF1. L'ancien Premier ministre en a profité pour détailler ce qui le distingue du candidat à la présidentielle désigné par la droite et le centre, François Fillon.
Bruno Le Maire qui a rallié François Fillon au soir du premier tour de la primaire à droite a assuré que dans l'équipe de campagne du candidat la question des futurs postes de ministres n'est pas prioritaire et réaffirme que des noms seront donnés avant le premier tour de la présidentielle.
Mazarine Pingeot, la fille de François Mitterrand, a indiqué qu'elle voterait pour Vincent Peillon à la primaire de la gauche. Un choix motivé par des raisons à la fois politiques et personnelles.
François Fillon a gagné la primaire de la droite et du centre en novembre avec une belle avance. Mais son programme ne passe pas auprès d'une majorité de l'opinion, qui demande des changements. C'est le principal enseignement du nouveau sondage "L'opinion en direct" de l'institut Elabe pour BFMTV.
Le candidat à la primaire de la gauche a dénoncé mardi soir sur France 2 l’instrumentalisation de la laïcité par le FN "contre certaines catégories de population", comme "il y a 40 ans les Juifs à qui on mettait étoiles jaunes". Une déclaration sur laquelle l'ancien ministre est revenu ce mercredi.
Arnaud Montebourg a présenté son programme économique et sa stratégie pour l’emploi ce mercredi. Coût du travail, ubérisation de la société, revenu universel... le candidat à la primaire organisée par le PS est revenu sur plusieurs thèmes majeurs de la campagne présidentielle.