Emmanuel Macron, en forte chute dans les sondages après trois mois de présidence, a réuni ce lundi matin à l'Elysée son gouvernement au grand complet pour affronter une rentrée sous tension, avec la présentation dès jeudi des ordonnances réformant le droit du travail. Le gouvernement doit désormais faire œuvre de pédagogie sur ses actions comme l’a laissé entendre le ministre de l’Intérieur Gérard Collomb. Le Premier ministre a, lui, voulu faire taire tout idée de reproche à son adresse de la part du président.
Emmanuel Macron a adopté ce week-end, dans un refuge de la SPA, un labrador croisé de griffon, baptisé Nemo, que des journalistes ont pu apercevoir lundi à l'Élysée où il a pris ses quartiers. Le chef de l'État a choisi le nom du nouvel hôte de l'Élysée en fonction du "N", correspondant à son année de naissance mais surtout en référence au célèbre capitaine Nemo du roman de Jules Verne "Vingt mille lieues sous les mers" qu'il apprécie particulièrement.
Invité dimanche sur BFMTV, le porte-parole du gouvernement a défendu la future loi antiterroriste qui devrait se substituer à l'état d'urgence en vigueur depuis novembre 2015. Christophe Castaner a critiqué l'"angélisme" des détracteurs de cette loi qui la jugent liberticide.
Invité de la matinale de RTL ce lundi, Bruno Le Maire est brièvement revenu sur le niveau d'impopularité d'Emmanuel Macron.
Emmanuel Macron et Édouard Philippe réunissent ce lundi le gouvernement en "séminaire" à l’Élysée. "L’occasion de créer une communication cohérente sur l’action gouvernementale", selon Laurent Neumann, éditorialiste politique à BFMTV. "Cette semaine, c’est peut-être la semaine où le quinquennat d’Emmanuel Macron se joue", a-t-il poursuivi.
Le gouvernement se réunit ce lundi pour un séminaire de rentrée, avant de présenter les ordonnances de la réforme sur le droit du travail. En chute dans les sondages, Emmanuel Macron est aussi très critiqué à droite comme à gauche et devra faire face à une manifestation d'ampleur menée par la France Insoumise. "Une opposition forte se dessine, celle des syndicats, et surtout Jean-Luc Mélenchon, qui s'affirme comme le vrai ténor de l'opposition et porte presque à lui seul ce flambeau", explique Henri Vernet... Читать дальше...
Invité ce lundi de Jean-Jacques Bourdin sur BFMTV et RMC, le ministre de l’Éducation nationale a confirmé que la rentrée scolaire s’effectuera bien en musique. "C’est un message que nous voulons donner. Aller à l’école, c’est d’abord du bonheur, de l’épanouissement", a estimé Jean-Michel Blanquer.
Invité ce lundi de Jean-Jacques Bourdin sur BFMTV et RMC, Jean-Michel Blanquer a annoncé que le budget de l’Éducation nationale allait augmenter. "On est en-dessous de 50 milliards aujourd’hui, on va passer au-dessus", a-t-il indiqué. Le ministre de l’Éducation nationale a aussi confirmé qu’il y aurait une augmentation du nombre d’enseignants.
Invité de Jean-Jacques Bourdin sur BFMTV et RMC ce lundi, Jean-Michel Blanquer a de nouveau prôné l'usage de la méthode syllabique pour l'apprentissage de la lecture au CP. "La vieille querelle entre la méthode syllabique et la méthode globale a été tranchée", a-t-il déclaré avant d'assurer que "la méthode syllabique, c'est le b.a.-ba". Le ministre de l'Éducation nationale a notamment assuré: " On ne doit jamais opposer le code et le sens, il ne faut apprendre un mot par cœur globalement, il faut... Читать дальше...
Invité ce lundi de Jean-Jacques Bourdin sur BFMTV et RMC, le ministre de l’Éducation nationale a annoncé qu’il allait ouvrir un débat, portant notamment sur la durée des vacances, dans les deux prochains mois. "Deux semaines à la Toussaint, ça m’a toujours paru un peu long personnellement", a confié Jean-Michel Blanquer.
Invité ce lundi de Jean-Jacques Bourdin sur BFMTV et RMC, le ministre de l’Éducation nationale est revenu sur la suppression des classes bilangues lors du précédent quinquennat. "C’était une erreur", a estimé Jean-Michel Blanquer. "L’argumentaire était que ça créait de l’élitisme. Je prétends exactement le contraire (…) On a rétabli totalement les classes bilangues en France aujourd’hui", a-t-il affirmé.
Après trois mois de présidence, Emmanuel Macron est en forte chute dans les sondages. La faute à des mesures incomprises par les Français, comme la baisse des APL ou la hausse de la CSG sans contrepartie immédiate. "Il y a combien de jeunes qui vont galérer?", s’inquiète un étudiant tandis qu’une retraitée déplore une réforme "injuste". "Ce n’est pas parce qu’on n’est plus actifs que l’on ne fait pas partie des gens qui sont utiles à la société", assure notamment un retraité.
"Le président de la République est trop seul. Il doit pousser ses ministres à sortir de leur trou", a déclaré ce lundi Christophe Barbier, éditorialiste politique à BFMTV, alors qu’Emmanuel Macron et Édouard Philippe réunissent le gouvernement en séminaire à l’Élysée.
Après avoir chuté de 10 points au mois de juillet, la cote de popularité du président de la République a accusé une nouvelle baisse de 14 points en août. Seuls 40% des Français se disent satisfaits de l'action du président. "C’est une fenêtre de tirs pour multiplier les attaques contre le gouvernement", estime Christophe Barbier, éditorialiste politique de BFMTV. "Mais il est trop tôt pour juger définitivement Macron", poursuit-il. "Passer d’En Marche à Ça marche, c’est le grand défi de Macron pour... Читать дальше...
LE CARNET DE THIERRY ARNAUD - Retrouvez le décryptage du chef du service politique de BFMTV.
Le baromètre des éditorialistes - Les éditorialistes de BFMTV évoquent lundi la "semaine de tous les dangers" pour Emmanuel Macron, un président de la République jugé "trop seul".
Interrogé par le magazine de Sciences-Po, Nicolas Sarkozy a commenté les premiers pas du Président Macron avant de revenir sur son expérience d'homme politique.
L'élection prochaine qui désignera le nouveau chef du parti Les Républicains ne semble pas passionner le ministre des Comptes publics.
Le ministre de l'Education nationale était l'invité de BFMTV et RMC ce lundi.
Après 100 jours au pouvoir et des premières vacances d'été courtes, l'exécutif fait sa rentrée. Avant les réformes prévues, Emmanuel Macron et Édouard Philippe changent leur communication.
La maire de Paris a affirmé avoir reçu des pressions de la part d'industriels à cause de sa politique visant à réduire la circulation dans la capitale.
Le Premier ministre s'exprimait au sortir d'un séminaire gouvernemental de rentrée organisé à l'Elysée.