La cote de popularité d'Emmanuel Macron enregistre à nouveau une très forte baisse en août, avec seulement 40% de personnes satisfaites de l'action du président, soit une chute de 14 points en un mois. Une chute que ses opposants attribuent à la politique qu'il mène depuis le début du quinquennat.
Interrogé sur BFMTV sur les mesures prises pour lutter contre le terrorisme, le porte-parole du gouvernement a confirmé qu'un "certain nombre de risques d'attentats" avait été déjoué, notamment grâce à la mise en place d'une cellule d'information sur le terrorisme directement rattachée au président de la République.
La première université d’été de la France Insoumise s’est close dimanche après-midi à Marseille. Après quatre jours de réunions et de discussions auxquelles plus de 3000 personnes ont participé, le leader du parti a pris la parole et n'a pas hésité à égratigner la politique menée par Emmanuel Macron. Dans une enquête publiée ce dimanche dans le JDD, 59% des sondés estiment que Jean-Luc Mélenchon est la personnalité la plus à même d’incarner l’opposition face à Emmanuel Macron.
Dimanche, lors du déjeuner de la Fête de la rose qui se tenait à Frangy-en-Bresse, Arnaud Montebourg a vanté les qualités de Boris Vallaud auprès d'un militant. "Il est meilleur que Macron. En même temps, ce n'est pas dur", a lancé l'ancien ministre.
Le président de la République connaît une nouvelle chute de sa popularité, avec une baisse de 14 points au mois d'août. Pour Alain Juppé, cela s'explique notamment par les contradictions et les erreurs d'Emmanuel Macron depuis son élection.
Le président de la République accuse une chute de 14 points de sa popularité au mois d'août, qui s'explique par des "indicateurs économiques mauvais" et des "cafouillages" qui suscitent l'incompréhension des Français, selon Damien Fleurot, rédacteur en chef du service politique de BFMTV.
La cote de popularité du président de la République a subi une chute vertigineuse avec une baisse de 14 points au mois d'août. Pour le député France Insoumise Alexis Corbière, cela s'explique notamment par la faible base électorale d'Emmanuel Macron qui n'a, selon lui, pas été élu "par adhésion avec sa politique" mais par rejet de Marine Le Pen.
Lors de son discours de clôture des journées d'été de la France insoumise à Marseille, Jean-Luc Mélenchon a appelé "le peuple à déferler à Paris" le 23 septembre pour manifester "contre le coup d'Etat social et antidémocratique qui s'organise contre lui", en référence aux ordonnances réformant le droit du travail qui doivent être dévoilées dans les prochains jours.
Après avoir chuté de 10 points au mois de juillet, la cote du popularité du président de la République a accusé une nouvelle baisse de 14 points en août. Seuls 40% des Français se disent satisfaits de l'action du président. Une situation inédite depuis Jacques Chirac en 1995.
Alors que le président de la République dévisse dans les sondages, le porte-parole du gouvernement a estimé ce dimanche sur BFMTV qu'il "fallait aller vite". "Les Français considèrent qu'on ne va pas assez vite", a-t-il déclaré, tout en rappelant qu'il ne fallait pas "uniquement regarder les sondages pour gouverner".
Le leader de La France insoumise, qui veut s'imposer comme le principal opposant à Emmanuel Macron, clôt ce dimanche les journées d'été de la France insoumise à Marseille avec un objectif: motiver ses troupes pour la rentrée sociale.
Alain Juppé, des Républicains, et Alexis Corbière de la France Insoumise, ont réagi à la baisse de popularité du président sur notre antenne.
Emmanuel Macron réunira ce lundi son gouvernement au complet pour affiner les délicats arbitrages budgétaires et mettre ses troupes en ordre de marche. Mais le Président, en baisse dans les sondages, risque d'affronter une rentrée sociale agitée.
Selon une enquête Ifop révélée ce dimanche, Jean-Luc Mélenchon serait le plus à même d'incarner l'opposition au président de la République.
La cote de popularité d'Emmanuel Macron enregistre à nouveau une très forte baisse au mois d'août, avec seulement 40% de personnes satisfaites, soit une chute de 14 points en un mois après celle de 10 points déjà observée en juillet, selon un sondage Ifop pour le Journal du Dimanche. Seul Jacques Chirac avait fait pire en 1995.
Les Républicains sont réunis tout le week-end au Touquet dans le cadre d'un "campus de la refondation". Objectif: refonder le parti après l’échec de la présidentielle, mais aussi se placer en vue des élections pour la présidence des Républicains qui aura lieu en décembre. Tour de piste des candidats déclarés ou pressentis.
La maire de Paris s'est exprimée sur le début du quinquennat d'Emmanuel Macron, alors que celui-ci enregistre une baisse record de sa cote de popularité.
Le président de la République a perdu 14 points de popularité en un mois, et 22 points en trois mois. Seul Jacques Chirac avait fait pire en 1995.
Lors d'un entretien téléphonique, ce dimanche, le chef de l'Etat a demandé à son homologue turc la "libération rapide" du jeune journaliste français Loup Bureau.
L'ancien candidat de la droite à la présidentielle, désormais retiré de la vie politique, a été entendu au milieu de l'été par le juge en charge de l'enquête sur les soupçons d'emplois fictifs de sa femme et de ses enfants.
La 45 édition de la traditionnelle Fête de la Rose se tenait ce dimanche à Frangy-en-Bresse, en Saône-et-Loire, en présence d'Arnaud Montebourg, malgré son retrait de la vie politique. Mais les militants, eux, se sont faits rares.
Lors du déjeuner de la Fête de la rose ce dimanche, l'ancien ministre s'est moqué de l'actuel Président, ironisant sur la tenue d'aviateur qu'il portait lors d'un déplacement auprès de militaires au mois de juillet à Istres.
Le parti socialiste a présenté ce dimanche une feuille de route en vue de sa refondation. Parmi les objectifs affichés, la modification des statuts, mais aussi la tenue d'un grand congrès, dans le but de parvenir à moderniser le parti.
Invité de BFM Politique ce dimanche, le porte-parole du gouvernement a assuré que la "task force" antiterroriste installée à l'Elysée par Emmanuel Macron a déjà fait ses preuves.
Face à l'affaiblissement du Président et la difficile reconstruction du PS, la maire de la capitale est désormais une figure incontournable à gauche. Mais si certains la voient déjà comme un recours à Emmanuel Macron, elle semble garder le cap sur Paris.