En meeting à Villepinte ce 1er mai, Marine Le Pen s'en est violemment pris à Emmanuel Macron, son adversaire du second tour de la présidentielle. "Il ne peut y avoir d'égalité dans le projet français puisque sa philosophie, c'est en marche ou crève", a lancé la candidate du FN.
Marion Maréchal-Le Pen, est venue soutenir, ce lundi, sa tante Marine Le Pen lors du meeting de la présidente du Front national au parc des expositions de Villepinte. Interrogée par Apolline de Malherbe pour BFMTV, la députée du Vaucluse a estimé que le ralliement de Nicolas Dupont-Aignan à la candidate FN à la présidentielle allait être entendu "bien au-delà des rangs" du candidat de Debout la France. "Je suis persuadée que beaucoup d'électeurs de François Fillon, déçus de cette droite qui a tout... Читать дальше...
Jean-Luc Mélenchon est apparu en larmes au début du défilé du 1er mai à Paris, ce lundi après-midi. Le leader de la France insoumise est venu saluer ses partisans en levant le poing visiblement très ému. Le candidat battu au premier tour de la présidentielle n'a pas donné de consignes pour le second tour mais il a mis en garde ce dimanche sur TF1 ses électeurs contre la "terrible erreur" que représenterait un vote en faveur du Front national.
En meeting à Villepinte ce 1er mai, Marine Le Pen s'en est violemment pris à Emmanuel Macron, son adversaire du second tour de la présidentielle. "Il ne peut y avoir d'égalité dans le projet français puisque sa philosophie, c'est en marche ou crève", a lancé la candidate du FN. "Fêtard de la Rotonde" ou "candidat de la continuité morbide", Marine Le Pen n'a pas épargné Emmanuel Macron dans la dernière ligne droite de la campagne.
Emmanuel Macron s'en pris à Marine Le Pen ce lundi en meeting à La Villette, à Paris. "Avec sa grossièreté bien connue", la candidate du Front national "a parfaitement résumé la situation" à la mi-journée en disant "c'est En marche ou crève", a-t-il lancé devant plusieurs milliers de personnes. "Elle a raison: En marche, c'est nous!", a-t-il lâché à la foule sous les applaudissements.
En meeting à la Villette à Paris, Emmanuel Macron a ironisé ce lundi sur le ralliement de Nicolas Dupont-Aigan à Marine Le Pen pour le second tour de l'élection présidentielle. Le candidat d'En Marche! a qualifié "d'alliance étrange", le rapprochement du candidat de Debout la France et de la présidente du Front national. Alors que la foule commençait à huer le maire de Yerres, l'ancien ministre de l'Economie a lancé à la foule "ne le sifflez pas davantage, le pauvre, il avait déjà perdu et le voilà déshonoré".
Emmanuel Macron, en meeting à Paris à la Villette ce lundi, a assuré à ses sympathisants que "l'ordre ancien" était fini depuis le soir du premier tour de l'élection présidentielle. "Certains vous diront que tout cela ne compte pas, que rien ne s'est passé dimanche dernier et que la nature va reprendre ses droits. Certains d'entre eux d'ailleurs se voient déjà Premier ministre", a-t-il poursuivi sans préciser à qui il faisait référence.
Emmanuel Macron s'en est pris, ce lundi à Paris en meeting, à Marine Le Pen en critiquant les principaux points du programme de la candidate du FN: sortie de l'Union européenne et de l'euro, dévaluation, fermeture des frontières, etc... Pour le candidat à la présidentielle d'En Marche! "le Front national est le parti de l'anti-France".
Lors de son meeting à Paris ce lundi, Emmanuel Macron a assuré qu'il ne jugera "jamais un électeur du Front national". Pour le candidat d'En Marche!, "il y a toujours une colère, une indignation, un désarroi, un désenchantement derrière ce vote". En revanche, le finaliste de l'élection présidentielle a assuré qu'il "combattrait jusqu'à sa dernière heure, son dernier souffle, le parti du Front national".
Le candidat d'En Marche!, Emmanuel Macron, a demandé, à ses sympathisants lors de son meeting ce mercredi à Paris, d'applaudir les CRS qui ont été blessés lors du défilé du 1er mai dans la capitale. "Je veux rendre un hommage particulier aux CRS qui cet après-midi ont eu à subir la violence et qui pour plusieurs d'entre eux ont été blessés", a-t-il déclaré.
Les syndicats défilent ce lundi 1er mai en ordre dispersé, les uns pour appeler à faire barrage à la candidate du FN, les autres pour soutenir le vote en faveur d'Emmanuel Macron et d'autres encore pour "battre les deux candidats". La CFDT, avec l’Unsa, appelle à une marche pour dire non au FN avec un rendez-vous prévu au métro Jaurès à 11h. De son côté, la CGT, associée à FO, la FSU et Solidaires, appelle les citoyens à se mobiliser contre le FN mais aussi pour des revendications sociales. À partir de 14h30... Читать дальше...
Depuis le premier tour, Emmanuel Macron a multiplié les déplacements sur des lieux symboliques comme au Mémorial de la Shoah ce dimanche. Des échos subliminaux à l'histoire de l'extrême droite française, en espérant gêner Marine Le Pen après ses déclarations sur la rafle du Vél d'Hiv ou sur les accusations de révisionnisme contre son éphémère remplaçant à la tête du FN.
Le leader de "Debout la France", Nicolas Dupont-Aignan, a conclu ce week-end un accord de gouvernement avec Marine Le Pen, dont il sera le Premier ministre si la candidate FN est élue Présidente. Cette alliance a eu un impact sur les intentions de vote de ses 1,7 millions d'électeurs au premier tour. Selon des estimations OpinionWay, "ils étaient 54% dimanche soir à dire qu'ils voteraient Emmanuel Macron, ils ne sont plus que 31%", remarque Christophe Barbier. "Il a véritablement troublé son électorat", estime l'éditorialiste politique.
Invité ce lundi de Jean-Jacques Bourdin sur BFMTV et RMC, Nicolas Dupont-Aignan s'est expliqué sur son ralliement avec Marine Le Pen pour le second tour de la présidentielle, dont il sera le Premier ministre si elle est élue le 7 mai prochain. "J'ai choisi le préférable face à Emmanuel Macron (…) Je suis fier de ne pas être un lâche", a affirmé le leader de "Debout la France".
Invité ce lundi de Jean-Jacques Bourdin sur BFMTV et RMC, Nicolas Dupont-Aignan a assuré "qu'il n'y aurait pas un centime du FN dans le parti Debout la France" après son alliance avec Marine Le Pen ce week-end. "Ma campagne présidentielle est équilibrée au centime près", a martelé le nouvel allié de la candidate FN.
Invité ce lundi de Jean-Jacques Bourdin sur BFMTV et RMC, Nicolas Dupont-Aignan a été confronté à ses propos tenus début avril lors d'un direct sur Facebook sur La1ere. "Arrêtez de vouloir absolument nous mêler", avait alors déclaré le leader de Debout la France, qui a pourtant annoncé son ralliement ce week-end à Marine Le Pen. "C'est un choix présidentiel", s'est-il expliqué sur notre antenne.
Invité ce lundi de Jean-Jacques Bourdin sur BFMTV et RMC, Nicolas Dupont-Aignan a fustigé Emmanuel Macron, le surnommant même "Hollande junior" lors de son interview. Un surnom rappelant beaucoup le "bébé Hollande" employé par Marine Le Pen, notamment lors de sa visite au marché de Rungis le 25 avril dernier. Ce week-end, le leader de Debout la France et la candidate FN ont conclu "un accord de gouvernement" en cas d'élection de Marine Le Pen le 7 mai prochain.
En ce 1er mai, Jean-Marie Le Pen rend hommage de son côté à Jeanne d'Arc devant sa statue, place la place des Pyramides à Paris. Interrogé sur l'hommage rendu quelques minutes plus tôt par Emmanuel Macron à Brahim Bouarram, jeune Marocain assassiné par des militants d'extrême-droite en 1995, le fondateur du Front national a répondu: "Monsieur Macron fait la tournée des cimetières, c'est un mauvais présage pour lui". Jean-Marie Le Pen fait ici référence aux récents déplacements du candidat d'En Marche... Читать дальше...
Alors qu'il se rendait sur la place des Pyramides à Paris pour rendre hommage à Jeanne d'Arc devant sa statue, Jean-Marie Le Pen a commenté les résultats du premier tour de la présidentielle, sa fille ayant terminé en deuxième position. "Bluffé? Non", a répondu le fondateur du FN. "Je l'ai fait moi-même, c'est vous dire que c'est possible (…) Les petits ruisseaux font les grandes rivières", a ajouté Jean-Marie Le Pen.
Le leader de "Debout la France" a reçu un accueil très chaleureux au meeting de Marine Le Pen à Villepinte ce lundi 1er mai. "J'ai choisi la France, j'ai choisi Marine", a lancé le futur Premier ministre de la candidate FN, si elle est élue Présidente, devant un public totalement acquis.
En meeting à Villepinte ce 1er mai, Marine Le Pen s'en est violemment pris à son adversaire du second tour de la présidentielle. La candidate du Front national s'est même moqué de sa campagne et son statut de favori. "Mais le candidat du système patine", a-t-elle lancé devant un public conquis.
En meeting à Villepinte ce 1er mai, Marine Le Pen s'en est violemment pris à son adversaire du second tour de la présidentielle. Faisant un réquisitoire de la finance, la candidate du FN l'a associé Emmanuel Macron. "Avec moi, le monde de la finance ne s'emparera de l'Élysée et cessera de gouverner (…) Le 7 mai, je vous appelle à faire barrage à la finance, à l'arrogance, à l'argent roi", a lancé Marine Le Pen.
Dans son discours prononcé à Villepinte ce lundi, Marine Le Pen a emprunté de nombreux passages d'une prise de parole de François Fillon, tenu il y a quinze jours, au Puy-en-Velay.
Après la création d'un site internet lancé à l'initiative de Nathalie Kosciusko-Morizet et Christian Estrosi pour contrer les arguments du Front National, Alain Juppé a fait savoir son soutien au projet.
Jean-Marie Le Pen a conclu son traditionnel discours du 1er mai, fortement orienté sur l'immigration, par des piques acerbes à l'encontre d'Emmanuel Macron.