L’affaire découle de choix antérieurs de la Juventus, où elle avait opté pour le report de paiements dus à Ronaldo dans le cadre de ce que l’on qualifie de manœuvres salariales. Cependant, ces mensualités n’ont jamais été réglées. Ronaldo, assisté de ses avocats, a réussi à obtenir ce qui lui était dû, mettant ainsi davantage de pression sur les finances du club.
Le verdict du tribunal oblige non seulement la Juventus à régler les 19,5 millions d’euros dus, mais également à payer les intérêts accumulés, ce qui accentue l’impact financier de cette décision sur les coffres du club. Cette situation souligne la nécessité pour les clubs sportifs de gérer leurs finances et leurs obligations contractuelles avec prudence, surtout dans un contexte économique incertain.
