Alors que le Festival du livre de Paris ouvre ses portes ce vendredi, une étude met en évidence la progression continue de l’achat et de la vente de livres de seconde main. Au point de faire de l’ombre au secteur de l’édition ?
La Cour de Strasbourg a donné raison à des Suissesses septuagénaires désireuses que leur pays adopte des mesures pour les protéger des effets du dérèglement climatique. Corina Heri, docteure en droit, analyse la portée de cette décision historique.
Dans le monde, les plateformes gagnent de plus en plus de terrain. Cependant, les chaînes (notamment américaines) devraient voir leurs audiences se stabiliser, selon une nouvelle étude de Médiamétrie.
Sur YouTube, ils exaltent la virilité ou font l’apologie du viol. Dans “Mascus, les hommes qui détestent les femmes”, le journaliste Pierre Gault ouvre une terrifiante fenêtre sur les masculinistes. Et sur leur glossaire qui fait mâle.
Un mercredi soir placé sous le signe du cinéma avec un film de Pedro Almodóvar et un autre de Claire Simon, ou bien un documentaire autour du harcèlement sur Internet. À moins que vous ne souhaitiez chanter avec le grand Bernard Lavilliers…
Ce jeudi 11 avril à l’Élysée, l’homme de télévision recevra la Légion d’honneur. Le documentaire de Christine Angot “Une famille ”, qui rappelle le sexisme qui régnait sur ses plateaux, lui, est toujours en salles.
Pour la sortie de son livre, “Midi moins cher : le guide du déjeuner malin à Paris”, notre critique culinaire, Estérelle Payany, nous offre l’apéritif avec cette sélection de dix bonnes adresses testées et approuvées.
Le grand chef finlandais Mikko Franck propose l’intégrale des sept symphonies de son compatriote, durant trois soirées consécutives. Un événement à écouter du 10 au 12 avril sur France Musique.
À Paris, une exposition retrace les débuts du Bon Marché, de la Samaritaine ou des Galeries Lafayette, qui en plus des produits qu’ils proposaient, faisaient rêver le chaland.
Il est censé garantir discipline et respect de la laïcité, gommer les inégalités sociales. Ce qui est sûr c’est qu’il va coûter cher, très cher… Actuellement à l’essai, le port de la tenue unique sauvera-t-il l’Éducation nationale ?