Aujourd’hui, on se demande comment organiser des JO tout en respectant nos objectifs climatiques avec Sébastien Julian, chef de la rubrique Climat à L’Express et Jean-Loup Chappelet, professeur honoraire de management public à l’Institut de Hautes études en Administration Publique (IDHEAP) de Lausanne.
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L’équipe : Charlotte Baris (présentation), Mathias Penguilly (écriture), Théo Sire (montage) et Jules Krot (réalisation).
Crédits : France 5, Europe 1, France 2, France 24, "IOC Media" sur YouTube, RMC, RTL, France Inter, Public Sénat, AFP
Musique et habillage : Emmanuel Herschon/Studio Torrent
Crédits image : LUDOVIC MARIN/AFP
Logo : Anne-Laure Chapelain/Benjamin Chazal
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Charlotte Baris : Depuis des mois, on ne parle que des JO de Paris dans des termes négatifs. A croire que tout est fait pour gâcher la fête. Et si finalement, les Jeux olympiques et paralympiques se passaient… bien ? L’Histoire regorge de jeux sans faute - malgré quelques faux-départs et des défis colossaux. Alors tout au long de la semaine, on se demande comment réussir ses olympiades.
Chers auditeurs, savez-vous que la devise des Jeux olympiques avait changé avant les JO de Tokyo ? Tout le monde connaît le leitmotiv originel : "Citius, altius, fortius" en latin qu’on peut traduire par "Plus vite, plus haut, plus fort". Une formule très célèbre qui date de 1894, à la création des Jeux olympiques autour de Pierre de Coubertin. Elle n’a pas évolué pendant plus d’un siècle, jusqu’à la 138e session du Comité International Olympique à l’été 2021.
Désormais, il faut dire "Citius-altius-fortius… Communitere. Soit "Plus vite, plus haut, plus fort – ensemble". C’est donc la solidarité que le CIO a voulue consacrer dans sa charte. Et peut-être que dans les années à venir, s’ajoutera à la devise "virdius", plus vert. Car figurez-vous que l’écologie prend une place de plus en plus importante dans l’organisation des derniers Jeux olympiques. Pour réussir cette édition, les organisateurs insistent énormément sur la sobriété.
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