L'événement est organisé par une quarantaine d'associations et de collectifs de gauche. La préfecture a décidé d'interdire l'événement, décrit par les organisateurs comme "une grande fête sauvage et populaire contre les Jeux olympiques, la guerre en Palestine et les réformes de Macron". L'année dernière, des black blocs avaient dégradé la mairie du 1er arrondissement.