Au moins 4 morts, dont un gendarme, et des centaines de blessés dans la poussée de fièvre qui frappe la Nouvelle-Calédonie depuis maintenant 3 nuits. A l’origine de ces affrontements : une réforme législative technique - le dégel du corps électoral de l’île - mais qui a comme conséquence d’opposer une partie de la population autochtone aux autres habitants de l’île.