Le vice-président du Front national Nicolas Bay, invité de Ruth Elkrief sur BFMTV ce vendredi, a estimé que "Laurent Wauquiez, par son parcours politique, n'est pas en situation d'incarner avec crédibilité les idées qu'il prétend défendre". "Il voudrait parler comme le FN pour essayer de redorer son blason, de récupérer des électeurs", a-t-il ajouté, jugeant que "la même vieille ficelle a été utilisée par Nicolas Sarkozy".
La ministre du Travail Muriel Pénicaud a affirmé ce vendredi que le gouvernement a "repéré une trentaine de freins, qui seront l'objet de tous les groupes de travail". "Ce travail complet, patient, pragmatique et sincère avec les partenaires de lever les freins est évidemment essentiel", a-t-elle ajouté.
Emmanuel Macron était ce vendredi dans le Haut-Rhin afin d'inaugurer, en compagnie de son homologue allemand, un "historial" consacré à l'un des plus sanglants champs de bataille de la première guerre mondiale. Lors de son discours, le président français a invité tous les représentants des pays ayant participé au conflit à se retrouver à Paris le 11 novembre 2018.
Cinq mois après leur prise de fonction, nombre de ministres du gouvernement Philippe restent assez peu connu par les Français. Selon un sondage, 64 % des français interrogés affirment ne pas connaître suffisamment Florence Parly, la ministre des Armées, pour juger de son action. Même chose pour Françoise Nissen, ministre de la Culture, que 7 Français sur 10 disent ne pas connaître assez. "L'opinion sait à peine ce que fait le gouvernement, tout semble centralisé sur la personnalité d'Emmanuel Macron"... Читать дальше...
Emmanuel Macron, qui inaugure ce vendredi l'historial franco-allemand du Hartmannswillerkopf dans le Haut-Rhin, est revenu sur la montée des extrêmes en Europe, estimant que "la seule réponse est de savoir avoir une politique efficace" face à ces extrêmes. Le président de la République a également défendu "une Europe ambitieuse, souveraine, unie et démocratique".
Plusieurs maires ont répondu à l'appel de leur homologue de Clichy ce vendredi à participer à une manifestation contre les prières de rue. En face d'eux, plusieurs dizaines de musulmans pratiquants se sont mis à prier dans la rue. Le défilé des élus les a poussés, et les forces de l'ordre ont dû intervenir.
Emmanuel Macron a répondu à une femme qui prenait part à la célébration de Georges Clemenceau dans le cadre du 11-novembre ce samedi. Membre des amis de Clemenceau, elle l'interpellait sur le sort de ses enfants étudiants, s'interrogeant s'ils auraient "une retraite potable" et sur le progrès social. Le président lui a assuré être pour le progrès social. "Je ferai le maximum pour vos deux étudiants", a-t-il conclu.
Membre des amis de Clemenceau, elle a interpellé le président samedi en marge des commémorations du 11-novembre sur le sort de ses enfants étudiants, l'interrogeant s'ils auraient "une retraite potable" et sur le progrès social. Le président lui a assuré être pour le progrès social dans un développement et un échange d'environ d'une minute. "Sa réponse était intéressante et argumentée. Il m'a convaincue", a-t-elle ensuite commenté.
Interpellé par une femme devant la statue de Georges Clemenceau lors des commémorations du 11-novembre à Paris ce samedi, Emmanuel Macron a assuré être "pour le progrès social mais celui que l'on sait se construire".
Emmanuel Macron a commémoré pour la première fois ce samedi l'armistice de la Première Guerre mondiale en tant que chef de l'Etat. L'occasion pour le président d'imposer son style en se différenciant de ses prédécesseurs.
Invité sur BFMTV ce vendredi, Pierre Moscovici a critiqué la tendance systématique du chef de l’État "à opposer ancien monde à nouveau monde". "Emmanuel Macron représente une nouvelle génération, un nouvel oxygène", a nuancé le commissaire européen aux Affaires économiques et financières. "Mais tout n’était pas tout noir non plus avant", a-t-il ajouté
Emmanuel Macron commémore ce samedi sa première cérémonie du 11-novembre, 99 ans après l'Armistice qui a mis fin aux combats de 14-18, en visitant notamment le musée Georges-Clemenceau à Paris. Une figure de l'histoire honorée pour un certain nombre de symboles comme l'explique Mathieu Coache de BFMTV.
Emmanuel Macron a commémoré samedi matin sa première cérémonie du 11-novembre, 99 ans après l'Armistice qui a mis fin aux combats de 14-18, en visitant notamment le musée Georges-Clemenceau à Paris et en déposant une gerbe au pied de sa statue aux abords des Champs-Elysées.
Emmanuel Macron a répondu à une personne qui prenait part à la célébration de Georges Clemenceau dans le cadre du 11-novembre ce samedi. Une femme l'interpellait sur le sort de ses enfants étudiants, s'interrogeant s'ils auraient "une retraite potable" et sur le progrès social. Le président lui a assuré être pour le progrès social. "Je ferai le maximum pour vos deux étudiants."
Emmanuel Macron a commémoré samedi matin sa première cérémonie du 11-novembre, 99 ans après l'Armistice qui a mis fin aux combats de la guerre 14-18, en visitant notamment le musée Georges-Clemenceau à Paris puis en ravivant la flamme du soldat inconnu place de l'Etoile.
Premières commémorations du 11-novembre pour Emmanuel Macron en tant que chef de l'État. L'Élysée réfléchit déjà aux cérémonies du centenaire de l'armistice l'année prochaine.
Emmanuel Macron multiplie les déplacements diplomatiques, notamment jeudi quand il s’est rendu en Arabie Saoudite pour une visite surprise afin d’évoquer les tensions qui minent la région. Une omniprésence médiatique sur la scène internationale qui fait dire au magazine américain "Time" que Macron pourrait être "le prochain leader de l’Europe", à une condition: qu’il arrive d’abord à diriger la France.
Selon un sondage, 12 des 19 ministres du gouvernement ne sont pas connus par plus d’un Français sur deux. Une absence de notoriété qui selon notre éditorialiste politique pose problème. "Une bonne partie de ces ministres ont peur des médias", explique Christophe Barbier qui ajoute que leur rôle est de "gérer les ministères, mais aussi de les incarner".
Même s'il se tient désormais en retrait, Nicolas Sarkozy reste très attaché à sa famille politique. Il met en garde Laurent Wauquiez qui brigue la présidence des Républicains contre la tentation d'une dérive "sectaire".
Plus de 35.000 personnes détiennent aujourd'hui le statut de pupille de la Nation en France. Orphelin de guerre, ou victime d'attentat, ces pupilles bénéficient d'une protection de la Nation à la fois symbolique et financière.