Laurent Wauquiez, président LR de la région Auvergne-Rhône-Alpes, a réagi ce mercredi sur BFMTV à l'ouragan Irma qui frappe les Antilles. "J'annonce comme président de ma région qu'on va adopter un dispositif de solidarité", a-t-il déclaré.
"Qu’on ne vienne pas m’expliquer que dans un pays qui compte 5 millions de fonctionnaires, la suppression de quelques milliers ou dizaines de milliers d’emplois, comme l’avait décidé le gouvernement précédent, aurait comme conséquence d’empêcher l’action publique", a déclaré ce mercredi 6 septembre Christophe Castaner, porte-parole du gouvernement. "Si tel était le cas, il faudrait que nous nous interrogions", a-t-il poursuivi.
Si Virginie Calmels affirme rester juppéiste malgré son ralliement à Laurent Wauquiez, la séparation politique entre la première adjointe et le maire de Bordeaux semble actée.
François Hollande a pris la tête d'une fondation appelée "la France s'engage". Ce mercredi, il s'est entretenu dans ses nouveaux locaux avec la journaliste de BFMTV, Salhia Brakhlia.
L'acteur a rallié le Front national à l'hiver 2016 et s'est présenté sous la bannière frontiste aux législatives dans la Somme, où il a été battu par François Ruffin.
Le maire de Frontignan la Peyrade dans l’Hérault veut frapper fort. Pour alerter le gouvernement sur la suppression des contrats aidés, il a décidé de mettre en vente plusieurs édifices de la ville sur le site Leboncoin, comme l’Hôtel de ville ou une école. Une action symbolique pour faire comprendre au gouvernement que ces emplois aidés sont essentiels pour la commune et qu'ils ont un coût: 2 500 000 euros sur 5 ans. Dans cette ville de 23 000 habitants, 88 personnes bénéficient de ce type de contrat. Читать дальше...
Désormais président de la fondation La France s'engage, l'ancien chef de l'Etat compte "utiliser son influence" pour soutenir des projets "innovants et solidaires".
La maire de Lille a sévèrement critiqué la réforme du code du travail portée par Muriel Pénicaud, avec qui elle a travaillé il y a 25 ans.
La maire de Lille sort de plusieurs mois de silence ce mercredi pour dénoncer la politique mise en place par le gouvernement et en particulier la réforme du Code du travail, qu'elle qualifie d'"arrière-garde".
Le chef de l'Etat a pris la parole mercredi soir pour prévenir que le bilan humain et matériel du passage de l'ouragan Irma serait "dur et cruel".
Candidat à la présidence de son parti Les Républicains, Laurent Wauquiez ne cache pas son ambition: incarner l'opposition à Emmanuel Macron.
Annick Girardin se rend en Guadeloupe dès ce soir, avec "de nouveaux renforts humains et matériels", a-t-elle annoncé.
A 18h00, Edouard Philippe entouré d'autres ministres se rendront en cellule de crise à Matignon, pour surveiller l'évolution de l'ouragan Irma.
Marine Le Pen fait sa rentrée politique samedi prochain. Une rentrée stratégique qui doit permettre au parti de reprendre la tête de l'opposition et à sa présidente de rassembler ses troupes. Ces dernières semaines, le Front national a surtout brillé par sa discrétion à l'Assemblée nationale et par ses divisions en interne.
Le porte-parole du gouvernement a annoncé mercredi que la France se dotait d'un ambassadeur des migrations, chargé notamment de travailler avec les pays d'origine et les pays de transit des migrants.
Initiateur de la fondation "La France s'engage" lancée en 2014, François Hollande est devenu officiellement ce mercredi le président de cette association déclarée d'utilité publique. L'ancien chef de l'Etat a présenté sa fondation au micro de BFMTV.
"Jamais je n’ai donné de leçon de morale. J’ai porté une exigence morale et je la porte à chaque minute", a déclaré ce mardi 5 septembre sur BFMTV François Bayrou, ancien garde des Sceaux et qui a dû démissionner de son poste en juin dernier suite à l’affaire sur les soupçons d’emplois fictifs au MoDem
"J’ai l’intention de soutenir le président de la République et le gouvernement", a déclaré ce mardi 5 septembre sur BFMTV François Bayrou, ancien garde des Sceaux et qui a dû démissionner de son poste en juin dernier suite à l’affaire sur les soupçons d’emplois fictifs au MoDem. "Premièrement pour participer à ce choix du pays et aussi parce que si le pays devait rencontrer des difficultés trop graves, je ne sais pas comment ça tournerait".
"Le président de la République a parlé. Pendant toute la période précédente, c’était plus le choc des photos plutôt que le poids des mots", a estimé ce mardi 5 septembre sur BFMTV François Bayrou, ancien garde des Sceaux et qui a dû démissionner de son poste en juin dernier suite à l’affaire sur les soupçons d’emplois fictifs au MoDem.
"Certains pensent que parce qu’on a dit des choses pendant la campagne présidentielle, c’est acté (…) Ça n’est pas vrai", a estimé ce mardi 5 septembre sur BFMTV François Bayrou, ancien garde des Sceaux et qui a dû démissionner de son poste en juin dernier suite à l’affaire sur les soupçons d’emplois fictifs au MoDem. "À chaque minute, quand on a pris la responsabilité du gouvernement, on doit reconstruire et pendant la première période, il ne l’a pas fait assez".
Pressenti un temps pour prendre le poste de Premier ministre, François Bayrou, nommé finalement garde des Sceaux et qui a démissionné du gouvernement après l’affaire des soupçons d’emplois fictifs au MoDem a estimé ce mardi 5 septembre sur BFMTV que c’est une idée "qui n’aurait pas été absurde".
"Les affaires ont été un obstacle artificiel, inventé", a déclaré ce mardi 5 septembre François Bayrou, ancien garde des Sceaux et qui a dû démissionner de son poste après le scandale consécutif aux soupçons d’emplois fictifs au MoDem. "Notre responsabilité est de construire dans cette majorité-là", a-t-il poursuivi.