Emmanuel Macron a livré devant les parlementaires et sénateurs réunis en congrès à Versailles un discours de près d’1h30, livrant sa vision de la politique et une invitation à changer les institutions. "C'est la VIe République que nous annonce Emmanuel Macron" estime Christophe Barbier
Emmanuel Macron a livré devant les députés et sénateurs réunis en congrès à Versailles un discours de près d’1h30, livrant sa vision de la politique et une invitation à changer les institutions. Ruth Elkrief, éditorialiste politique BFMTV, décrypte cette allocution devant les parlementaires.
Emmanuel Macron a livré devant les députés et sénateurs réunis en congrès à Versailles un discours de près d’1h30, livrant sa vision de la politique et une invitation à changer les institutions. A changer avec le monde passé également et non sans évoquer ses prédécesseurs, parlant ainsi "d’une transformation résolue et profonde, tranchant avec les années immobiles ou avec les années agitées, toutes au résultat également décevant".
Emmanuel Macron a livré devant les parlementaires et sénateurs réunis en congrès à Versailles un discours de près d’1h30, livrant sa vision de la politique et une invitation à changer les institutions. Ruth Elkrief, éditorialiste politique BFMTV, décrypte cette allocution devant les parlementaires.
Emmanuel Macron a livré devant les députés et sénateurs réunis en congrès à Versailles un discours de près d’1h30, livrant sa vision de la politique et une invitation à changer les institutions. Mais aussi une méthode, expliquant que "la France n’est pas un pays qui se réforme". "Pardon M. le Premier ministre de vous annoncer devant le congrès cette mauvaise nouvelle".
Emmanuel Macron a tenu un discours, ce lundi, devant le Congrès réuni à Versailles. À la sortie, Marine Le Pen, députée du Pas-de-Calais nouvellement élue, a critiqué les propos du président de la République. Elle a jugé qu’Emmanuel Macron est resté "dans un flou lyrique" et que les parlementaires n’en "savent pas plus en sortant qu’en entrant".
Emmanuel Macron a livré devant les députés et sénateurs réunis en congrès à Versailles un discours de près d'1h30, évoquant sa vision de la politique et une invitation à changer les institutions. "J'estime qu'on a perdu notre temps cet après-midi", a déclaré Daniel Fasquelle, député LR. "Emmanuel Macron nous a refait son discours de campagne électorale. Tout ça manque de sincérité et de concret", a-t-il ajouté.
Emmanuel Macron s'est exprimé ce lundi devant le Congrès, composé des députés et sénateurs, à Versailles. "La seule annonce qui s'est installée au cœur du discours, c'est la sortie de l'état d'urgence", a déclaré Eric Ciotti, député LR. "C'est une annonce inquiétante parce qu'elle signifie que le degré de protection des Français, à partir de novembre, va être affaibli", a-t-il expliqué. "Est-ce qu'on peut dire qu'en novembre la menace islamiste aura reculé? je ne le crois pas", a-t-il ajouté.
Le député PS de la Sarthe Stéphane Le Foll a estimé qu'il "faut qu'on équilibre un peu les pouvoirs", alors qu'Emmanuel Macron a annoncé qu'il souhaitait réduire d'un tiers le nombre de parlementaires et introduire une dose de proportionnelle. "De réduire à 350 le nombre de députés avec une dose de proportionnelle, si on veut assurer une diversité de la représentation, il y a quand même une question qu'il va falloir se poser sur quel est la place de ces députés", a-t-il avancé.
Le chef de file du groupe "Nouvelle Gauche" à l'Assemblée nationale Olivier Faure a estimé qu'Emmanuel Macron, en convoquant le Congrès à Versailles ce lundi, "a cherché à installer une domination symbolique". "On ne peut pas dire qu'après une heure et demi, nous soyons très renseignés sur le détail" de la politique voulue par le chef de l'Etat, a-t-il ajouté, considérant qu'il manquait "les détails". "Et le diable est toujours dans les détails", a conclu Olivier Faure.
Emmanuel Macron réunissait ce mardi le Congrès à Versailles. Lors de son discours, le chef de l'Etat a dressé les grandes lignes d'une réforme des institutions. Il a annoncé sa volonté d'instaurer une dose de proportionnelle au Parlement, de réduire le nombre de parlementaires, ainsi qu'un droit à la pétition.
Emmanuel Macron s'est adressé, ce lundi, au Parlement réuni en Congrès, à Versailles. Dans un discours d'une heure et demi, le président français a promis "changement profond", "action" et "efficacité" pour répondre à "l'impatience des Français". Il a notamment proposé de réduire d'un tiers le nombre de sénateurs et de députés. Le chef de l'Etat souhaite également modifier le mode d'élection du Parlement, en introduisant "une dose de proportionnelle". La séance a été ouverte par une minute de silence en mémoire de Simone Veil... Читать дальше...
Réunis en Congrès à Versailles ce lundi, les parlementaires ont observé une minute de silence en hommage à Simone Veil, morte vendredi. "Elle occupe désormais une place particulière dans notre mémoire nationale", a déclaré François de Rugy, président de l'Assemblée nationale.
Emmanuel Macron s'est exprimé ce lundi en Congrès à Versailles. "S’agit-il de sortir de l’état d’urgence? On nous dira d’un côté que nous laissons la France sans défense face au terrorisme et de l’autre que nous bradons nos libertés", a déclaré le président de la République. Selon le chef d'État, " derrière tous ces faux procès, on trouve le même vice, le vice qui empoisonne depuis trop longtemps notre débat public: le déni de réalité, le refus de voir le réel en face."
Alors qu'il s'exprimait ce lundi en Congrès à Versailles, Emmanuel Macron en a appelé à "en finir avec cette recherche incessante du scandale, avec le viol permanent de la présomption d’innocence". Le président de la République a également dénoncé une "chasse à l’homme où parfois les réputations sont détruites et où la reconnaissance de l’innocence, des mois, des années plus tard, ne fait pas le dixième du bruit qu’avait fait la mise en accusation initiale".
"Sachons mettre un terme à la prolifération législative. Elle affaiblit la loi, qui perd dans l’accumulation des textes une part de sa vigueur et, certainement, de son sens. Telles circonstances, tel imprévu, telle nouveauté ne sauraient dicter le travail du législateur", a expliqué le président devant les députés et sénateurs réunis en congrès à Versailles ce lundi.
"Un Parlement moins nombreux, mais renforcé dans ses moyens, c’est un Parlement où le travail devient plus fluide, où les parlementaires peuvent s’entourer de collaborateurs mieux formés et plus nombreux. C’est un Parlement qui travaille mieux. C’est pourquoi je proposerai une réduction d’un tiers du nombre de membres des trois assemblées constitutionnelles", a défendu Emmanuel Macron devant les députés et sénateurs réunis en congrès à Versailles ce lundi
Ce lundi, Emmanuel Macron a prononcé un discours en Congrès, à Versailles. Le président de la République s'est adressé directement aux parlementaires, déclarant que "légiférer moins, c'est mieux allouer le temps parlementaire". "Voter la loi ne saurait être le premier et le dernier geste du Parlement", a-t-il poursuivi.
"La représentativité reste toutefois un combat inachevé dans notre pays. Je souhaite le mener résolument. Je proposerai ainsi que le Parlement soit élu avec une dose de proportionnelle pour que toutes les sensibilités y soient justement représentées. C’est à cette même fin que nous limiterons le cumul des mandats dans le temps pour les parlementaires", a défendu Emmanuel Macron devant les députés et sénateurs réunis en congrès à Versailles ce lundi
Emmanuel Macron a annoncé, ce lundi à Versailles, qu'il reviendra "tous les ans" devant le Congrès "pour rendre compte". "Trop de mes prédécesseurs se sont vu reprocher de n’avoir pas fait la pédagogie de leur action ni d’avoir exposé le cap de leur mandat", a déclaré le président de la République.
"Je souhaite que la totalité des transformations profondes que je viens de détailler et dont nos institutions ont cruellement besoin soit parachevée d’ici un an et que l’on se garde des demi-mesures et des aménagements cosmétiques. Ces réformes seront soumises au vote du Parlement mais si cela est nécessaire, je recourrai au vote de nos concitoyens par voie de référendum" , a défendu Emmanuel Macron devant les députés et sénateurs réunis en congrès à Versailles ce lundi
"De tout temps les adversaires de la démocratie ont prétendu qu’elle était faible et que si elle voulait combattre il lui faudrait bien abandonner ses grands principes. C’est exactement le contraire qui est vrai", a défendu Emmanuel Macron devant les députés et sénateurs réunis en congrès à Versailles ce lundi. Il le souhaite donc. "Je rétablirai les libertés des Français en levant l’état d’urgence à l’automne"
Emmanuel Macron s'est exprimé ce lundi en Congrès, à Versailles. "Je souhaite que le droit de pétition soit revu afin que l’expression directe de nos concitoyens soit mieux prise en compte et que les propositions des Français puissent être présentées à la représentation nationale", a déclaré le président de la République.
Emmanuel Macron a prononcé un discours, ce lundi au Congrès, à Versailles. "Je crois fermement à l'Europe", a déclaré le président de la République avant d'assurer "ne pas toujours trouver ce scepticisme injustifié".
La posture présidentielle exaspère l'ancien socialiste Benoît Hamon.