Nathalie Kosciusko-Morizet (LR) et Gilles le Gendre (LREM), qualifiés pour le second tour des élections législatives dans la 2ème circonscription de Paris, étaient les invités de Ruth Elkrief, ce mercredi sur BFMTV. La candidate Les Républicains, arrivée seconde avec 18%, a caricaturé le très bon score des candidats de La République en marche au premier tour et notamment celui de son adversaire, arrivé en tête avec près de 42% des suffrages: "Vous êtes caricatural de cette vague qui n'est pas celle de marcheurs mais celle de surfeurs".
Après sa défaite lors du premier tour des élections législatives, Henri Guaino (LR), candidat dans la 2ème circonscription de Paris, avait critiqué un "électorat à vomir". Invitée ce mercredi sur BFMTV pour un débat face à Gilles Legendre (REM), Nathalie Kosciusko-Morizet a commenté ces propos. "Henri Guaino est l'idiot utile de Gilles Legendre, comme tous les dissidents de droite", a-t-elle lancé avant d'assurer qu'ils "servent à faire perdre ces gens-là, prendre des voix au premier tour, abaisser le score". Читать дальше...
Durant son point presse de mercredi, le porte-parole du gouvernement a fait un petit lapsus. Christophe Castaner évoquait la volonté du chef de l’Etat à "travailler d’arrache-pied cette majorité dont nous avons besoin pour construire cette action forte voulue par le pays". Il a poursuivi son propos quand soudain il a affirmé que "le Premier ministre met en œuvre cette polémique", au lieu de cette "politique".
Deux affaires similaires, celles des emplois présumés fictifs d’assistants parlementaires au Parlement européen. Et du côté du FN comme du MoDem, on est aussi à très peu de choses près dans les arguments de défense.
Alors que la tension semblait monter entre eux ces derniers jours, François Bayrou et Edouard Philippe sont sortis ensemble du Conseil des ministres ce mercredi. Une façon sans doute pour le ministre de la Justice et le locataire de Matignon de faire taire les rumeurs de dissensions au sein du gouvernement.
Le porte-parole du gouvernement a assuré, ce mercredi à l’issue du Conseil des ministres, que la situation entre François Bayrou et Edouard Philippe était "totalement pacifiée". La réunion des membres de l’exécutif était attendue après le recadrage que le Premier ministre a fait au garde des Sceaux. Un recadrage qui intervenait après un appel passé par le ministre de la Justice au directeur de la cellule investigations de Radio France dans le but de se plaindre d’une enquête sur les soupçons d’emplois fictifs au MoDem.
Le 15 juin, cela fera tout juste un mois qu’Emmanuel Macron s’est installé à l’Elysée. Depuis son arrivée dans le palais présidentiel, le chef de l’Etat veut imprimer sa marque. Le soir, il reçoit souvent Jean-Marc Borello, son ancien professeur de Sciences-Po qui le tient informé de ce qu’il se passe au dehors. Emmanuel Macron tient en revanche à verrouiller sa communication en donnant des consignes très strictes à ses ministres et secrétaires d’Etat.
François Bayrou est au coeur d'une polémique après les révélations sur les assistants parlementaires du MoDem au Parlement européen ou encore concernant son coup de fil à des journalistes. Si le ministre de la Justice entend garder sa liberté d'expression, le Premier ministre a lui rappelé la discipline gouvernementale qui s'imposait.
Dans un avis consultatif, que Le Monde a pu consulter ce mardi, transmis par l'Assemblée générale du Conseil d'Etat au gouvernement, l'institution critique trois mesures du projet de loi de moralisation de la vie publique qui doit être présenté en Conseil des ministres ce mercredi.
Le "Canard Enchaîné" rapporte de nouveaux soupçons autour de collaborateurs payés par le Parlement européen mais qui travaillaient pour le Modem. François Bayrou et ses proches se défendent et assurent avoir toutes les preuves liées à la réalité des contrats de travail.
Richard Ferrand est en ballottage favorable avant le second tour de l’élection législative à Châteaulin, dans la 6e circonscription du Finistère. Malgré les affaires, il est arrivé en tête à l’issue du premier tour avec 34% des voix dimanche dernier, la majorité des électeurs ne lui tenant visiblement pas rigueur de l’enquête préliminaire ouverte sur l’affaire immobilière. La maire de Châteaulin quant à elle recueilli 18,4% des voix. Pas de quoi être très optimiste pour le second tour. Si le ministre... Читать дальше...
"Il y a eu des collaborateurs qui étaient à mi-temps travaillant comme assistants avec des parlementaires européens et qui pour l’autre mi-temps avaient des responsabilités à l’intérieur de notre organisation", s’est justifié ce mercredi matin sur RTL le ministre de la Justice François Bayrou. À la suite d'un courrier envoyé par un ancien salarié de l'UDF, le parquet de Paris avait annoncé vendredi l'ouverture d'une enquête préliminaire pour abus de confiance et recel d'abus de confiance, à l'encontre du MoDem soupçonné d'emplois fictifs.
Le porte-parole du gouvernement et secrétaire d’Etat a longuement évoqué le cas François Bayrou ce mercredi sur BFMTV et RMC, abordant tour à tour son appel à la direction de Radio France et sa réponse au Premier ministre jusqu’à répondre sur l’impression que l’actuel Garde des Sceaux pourrait avoir d’avoir fait l’élection d’Emmanuel Macron. Christophe Castaner, sans dire que son collègue au gouvernement manque de modestie, a rappelé la nécessité de cette valeur.
"Le Premier ministre a rappelé une règle simple: quand on devient ministre, notre parole nous oblige beaucoup plus que quand on est citoyen", a estimé ce mercredi matin au micro de Jean-Jacques Bourdin sur BFMTV, Christophe Castaner, porte-parole du gouvernement à propos de François Bayrou. Le ministre de la Justice est impliqué dans une affaire de soupçons d’emplois fictifs d’assistants parlementaire MoDem. Il avait passé, la semaine dernière, un coup de fil de pression à Radio France.
"On fera une hausse de CSG qui touchera les revenus du capital et 60% des retraités qui sont au-delà d’un seuil entre 1.400 et 1.500 euros par mois et en parallèle, on va supprimer la taxe d’habitation pour 80 % des retraités", a déclaré ce mercredi 14 juin au micro de Jean-Jacques Bourdin sur BFMTV, Christophe Castaner, porte-parole du gouvernement.
Emmanuel Macron doit-il se poser la question du maintien de François Bayrou au gouvernement? Pour Christophe Barbier, la question ne se pose pas. "On n'est pas dans une crise majeure, ni dans une fronde idéologique". "Bayrou est un cas à part. Il a tort dans cette affaire. Son intervention auprès de Radio France n'était ni fait, ni à faire", a toutefois souligné l'éditorialiste politique de BFMTV.
Si le ministre de la Justice ne respecte pas la discipline gouvernementale, Emmanuel Macron pourrait reconsidérer la présence de François Bayrou au sein de son gouvernement.
Alors que sa passe d'armes avec le Premier ministre Edouard Philippe continue, François Bayrou a justifié son attitude, ce mercredi matin, en utilisant une expression étonnante.
Emmanuel Macron l’a promis durant sa campagne: il veut intégrer "une dose de proportionnelle" aux élections législatives, sans jamais en préciser les modalités exactes. Pourtant, la manière de calculer cette répartition proportionnelle peut totalement changer le visage de l’Assemblée nationale. Pour vous le montrer, nous avons conçus un simulateur d’élection législative, à partir des résultats du premier tour. À vous de mettre le curseur sur "la dose de proportionnelle" à appliquer.
Les résultats du premier tour des élections législatives prédisent un tout nouveau visage pour l’Assemblée: plus féminin, plus jeune, mais toujours aussi aisé.
Christophe Castaner, porte-parole du gouvernement, était ce mercredi matin l'invité de Jean-Jacques Bourdin sur BFMTV et RMC. Candidat aux législatives et député sortant, il est arrivé largement en tête au premier tour dans la 2e circonscription des Alpes-de-Haute-Provence, avec 44,04% des voix.
Ce mercredi soir sur BFMTV, les deux candidats qualifiés pour le second tour des législatives dans la 2e circonscription de Paris, Gilles Le Gendre (LREM) et Nathalie Kosciusko-Morizet (LR), se sont opposés.
Dans un entretien au Guardian, le secrétaire d'Etat en charge du Numérique revient sur son parcours et explique que les difficultés causées par son patronyme l'ont poussé à lancer sa propre entreprise.
François Bayrou ne voit pas de contradiction entre sa liberté de parole et la discipline gouvernementale.
Alors que François Bayrou présente ce mercredi le projet de loi de moralisation de la vie publique en conseil des ministres, le dossier de l'affaire des assistants parlementaires du MoDem s'épaissit de jour en jour.