La garde des Sceaux Christiane Taubira a jugé mercredi "intolérables" les saccages à Moirans et la mutinerie à la prison d'Aiton et "insupportable" que l'on use de violences "pour contester une décision de justice".
Une commune des Hauts-de-Seine a choisi de débaptiser une "place de la Résistance" au profit de l'ancien ministre Charles Pasqua. Plusieurs associations d'anciens résistants dénoncent la décision.
L'Assemblée nationale a rendu hommage mercredi aux 33 premières femmes élues députées il y a exactement 70 ans, auxquelles "l'Histoire peine à rendre justice", selon la vice-présidente de l'Assemblée, Sandrine Mazetier (PS).
Le gouvernement a voulu afficher sa fermeté face aux violences commises par des gens du voyage à Moirans mardi soir. L'opposition a, au contraire, fustigé l'action du gouvernement.
A 18 mois de l'élection présidentielle, le président de la République se fait nettement devancer par son Premier ministre pour représenter la gauche dans l'hypothèse d'une candidature. Selon un sondage réalisé par l'institut Elabe pour BFMTV, Alain Juppé reste le candidat favori des Français.
La ministre de la Justice a notamment reproché au jeune sénateur FN de ne pas modérer les commentaires laissés sous ses posts. Et notamment ceux qui concernent Christiane Taubira...
François Hollande a réagi mercredi aux violences intervenues la veille à Moirans. Il a promis que des sanctions seront prises contre les auteurs des actes de vandalisme.
Alors que le ministre de l'Intérieur Bernard Cazeneuve a annoncé lundi des mesures pour renforcer les contrôles dans les transports, des élus et des syndicats plaident en faveur du port obligatoire de la carte d'identité, notamment pour enrayer la fraude.
Une vive polémique a éclaté mercredi entre le gouvernement et l'opposition de droite, qui voit dans les violences survenues mardi à Moirans un manque de fermeté de la part de l'Etat.
Le chef du parti socialiste a écrit à Nicolas Sarkozy pour lui proposer une saisine commune du CSA. Jean-Christophe Cambadélis entend protester contre la cinquième invitation de Marine Le Pen à l’émission de France 2, Des Paroles et des actes.