Le ministre de l'Economie a estimé lundi que le Front national était "une forme de Syriza à la française". De quoi scandaliser les élus de gauche.
Alors qu'Angela Merkel prend acte du "non" référendaire adressé par les Grecs à leurs créanciers en concluant que ce pays doit sortir de la zone euro, la France se garde encore une marge de négociation, tout en maintenant une prudente distance. Un exercice d'équilibriste dans lequel François Hollande est passé maître, qui vise à ce qu'aucune des parties n'ait l'impression de ressortir perdante.
La ministre de l'Ecologie, Ségolène Royal, a apporté son soutien à la nageuse française en publiant un tweet. Vendredi dernier, Mélanie Hénique avait porté plainte pour agression à caractère homophobe, après avoir été rouée de coups et insultée à la sortie d'un restaurant d'Amiens, le 26 juin.
Au micro de Jean-Jacques Bourdin, le ministre de l'Agriculture a affirmé que la balle était désormais dans le camp de la Grèce, qui doit désormais "faire des propositions" pour reprendre les négociations. Il a également pointé du doigt le discours de Yanis Varoufakis, le ministre des finances grecs qui a démissionné lundi matin.