L'attaque ciblant vendredi une usine de Saint-Quentin-Fallavier et pour laquelle le parquet antiterroriste de Paris a été saisi, a suscité une vive émotion. Elle a aussi ravivé les tensions, six mois après les attentats de janvier et juste après que la loi renseignement a été définitivement adoptée.
Le président de la République a demandé que soit tenu un tableau répertoriant, pour chaque ministre, l'avancement de leur loi et le nombre de décrets publiés, selon RTL.
Mais cette décision, à laquelle Manuel Valls a fermé la porte, revient au "président, au Premier ministre, et au ministre des Affaires étrangères" avait précisé la ministre de la Justice sur BFMTV.