Les deux pays ont demandé des explications urgentes à la FIFA, et de leur officialiser l’information. Ils « ont écrit conjointement à la FIFA pour clarifier de toute urgence la situation ». Par ailleurs, Nikita White, chargée de campagne pour l’Australie à Amnesty International, n’a pas manqué de souligner le « bilan épouvantable de l’Arabie saoudite en matière de violations des droits de l’Homme (…) Le parrainage de la Coupe du monde de football féminin par les autorités saoudiennes serait un cas d’école de blanchiment sportif », a-t-elle déclaré comme le rapporte 20minutes.