Leurs parents se sont battus pour la France, et pourtant, après les accords d’Évian, ils ont été parqués dans des camps privés de tout confort, de travail, de liberté. Le 20 septembre, Emmanuel Macron a demandé pardon au nom de la France. Un acte attendu depuis soixante ans. André Azni, président de l’association Les harkis et …