Un mercato des plus-values et des livres de comptes. Avec les transferts simultanés de Miralem Pjanic et d'Arthur, la Juventus et Barcelone ont mis en lumière une pratique très courante en Italie, celle des faux échanges, très utile en période d'incertitude économique.. Le mécanismePourquoi parler de "faux échange" ? Parce que si Arthur et Pjanic vont se croiser entre Barcelone et Turin, il s'agit bien de deux transferts séparés. Et même d'énormes transferts, le Bosnien ayant signé pour environ …