"Ce qu'il dit est évidemment faux, ce n'est pas une question de vie ou de mort. S’ils ont planté les droits télé, c’est de leur faute à eux tous (les présidents des clubs français). Quand il dit vie ou de mort, en gros il lui faut de l’entrée d’argent par la billetterie et par ce que peut apporter un grand stade. S’il s’est embrouillé avec la mairie de Paris, c’est à cause de lui. Il y avait un plan pour faire des travaux au Parc des Princes, il existe encore", a contesté le polémiste.
"Et surtout, il va se brouiller définitivement avec une base de supporters. Quand tu te brouilles avec une base, pour aller reconstruire une autre base et viser 60 ou 70 000 personnes dans un stade, dans les matchs de Ligue des Champions… Comment tu vas le remplir ton stade que tu vas aller construire à 20-30 bornes de Paris, où tu n’as pas encore le terrain, tu n’as pas encore les routes, tu n’as pas encore les transports pour y aller ? Si tu ne changes pas de politique, puisque tu as dit désormais que tu veux une politique profil bas. En fait, il n’y a rien qui va dans ce qu’il dit", prétend Riolo.