Le personnel de Viry-Châtillon, où est basée la partie moteur de l’écurie française de F1, espère convaincre Luca de Meo de revenir sur cette décision. Ils soulignent l’importance de cette technologie, unique en France, et la volonté de préserver leur activité. Une action pacifique avait déjà été organisée lors du Grand Prix d’Italie pour attirer l’attention sur leur situation.
Cette réunion marque un moment crucial pour l’avenir du programme moteur d’Alpine, alors que la pression monte du côté des salariés. Ceux-ci espèrent que la rencontre avec de Meo pourrait inverser la décision, prise en collaboration avec son conseiller spécial, Flavio Briatore.