Comme ramené par l’Equipe, les tests psychologiques de la plaignante étaient une étape cruciale avant que les défenseurs puissent demander un non-lieu pour leurs clients. L’avocat des joueurs, Rafael Cuneo Libarona, a précisé que la demande sera finalement déposée mardi, une fois les analyses terminées. De leur côté, les avocats de Jégou et Auradou dénoncent une « provocation » et soulignent que cette situation prolonge injustement la détention de leurs clients. Actuellement en résidence surveillée depuis leur transfert à Mendoza le 11 juillet, Jégou et Auradou ne peuvent toujours pas quitter l’Argentine, leurs passeports étant retenus. Les accusations portées contre eux concernent un viol présumé survenu dans un hôtel de Mendoza, juste après un test-match contre l’Argentine.