Il y a huit ans, aux JO de Rio 2016, à 21 ans, Walide Kyar était le benjamin de l’équipe de France de judo. Arrivé comme une comète à ce niveau, il avait les dents longues et n’hésitait pas à dire tout haut ses objectifs, ne faisant aucun complexe. À Paris cet été, plus mature, ayant pris des coups aussi, il retrouve les Jeux, ce dimanche 28 juillet, avec un regard différent. Et des chances plus grandes, sans doute aussi.