Le rapport mentionnait des lésions dans les parties intimes, ainsi que divers hématomes et éraflures sur plusieurs parties du corps de la plaignante. Antoine Vey a expliqué que ces affirmations étaient exagérées et non préoccupantes. Selon lui, les photos présentées à une experte à Mendoza ont conduit à un rapport de dix pages qui ne corrobore pas les allégations de coups. Il a également précisé que les micro-lésions évoquées pourraient être dues à des facteurs tels que la prise d’anticoagulants ou l’extraction de dents, plutôt qu’à des violences physiques.
Pour conclure, Antoine Vey a souligné qu’il n’y avait aucune lésion dans les parties intimes de la plaignante, comme confirmé par l’experte. Il a critiqué la mauvaise interprétation des médias français et a appelé au calme, rappelant l’importance de laisser le processus judiciaire suivre son cours. Oscar Jégou et Hugo Auradou, qui affirment que la relation sexuelle était consentie, sont actuellement en résidence surveillée. Selon Vey, cela démontre qu’ils ont présenté des éléments convaincants permettant d’éviter une détention plus stricte.