Depuis jeudi, Mason Greenwood est olympien ! Dans la foulée, vendredi, l’attaquant anglais a été présenté à la presse après avoir réalisé son premier entraînement à l’OM. Logiquement, l’ancien de Manchester United a été questionné sur son passé lui qui était accusé de violences il y a 2 ans sur son actuelle compagne (plaintes et poursuites retirées). Si la communication de l’OM a coupé court aux journalistes sur ce sujet et que Mason Greenwood n’a pas souhaité s’étaler. Pablo Longoria s’est expliqué en préambule sur la venue contrastée de l’Anglais, après que le président olympien ait subi des pressions notamment par le maire de Marseille sur ce transfert.
« Je suis très content d’accueillir un joueur extraordinaire, l’un des plus grands espoirs de sa génération, c’était le cas à Manchester United et à Getafe. C’est un joueur différent avec de grosses qualités. De grands clubs le voulaient. Merci à sa famille et à Mason pour la confiance qu’il nous donne. C’est important de comprendre que l’arrivée de Mason nous donne le niveau des ambitions du club. J’espère qu’il va nous aider à atteindre nos objectifs. Je comprends que son arrivée suscite des questions et des interrogations. Je respecte les opinions de chacun mais je ne veux pas rentrer dans la polémique », a d’abord expliqué l’Espagnol comme le rapporte RMC Sport.
Le président de l’OM a ensuite affirmé avoir bien mené son enquête sur le sujet. « C’est le passé, une situation complexe et ancienne. Mason s’est exprimé là-dessus. Moi j’ai échangé avec toutes les parties autour du dossier, j’ai une implication personnelle dans ce dossier. Le club a une approche très professionnelle et minutieuse. Je suis espagnol et je sais qu’il a été exemplaire à Getafe et dans la ville de Madrid. C’est le moment de parler de l’avenir. En tant que président, j’accompagnerai Mason pour l’aider à atteindre les objectifs du club. Je l’aiderai en tant que joueur et en tant qu’homme. Il a toutes les valeurs que l’on veut développer dans le club comme tous ses coéquipiers qui sont là et ceux qui vont arriver », a conclu Pablo Longoria.