En début de semaine, la Commission des sanctions de l’Agence française de lutte contre le dopage (AFLD) l’a suspendu pour neuf mois, malgré le fait que le contrôle positif à l’heptaminol ait été attribué à une contamination. Cependant, une autre affaire pèse sur Fall : celle des manquements à ses obligations de localisation, pour laquelle il risque une suspension de deux ans. Bien qu’il ait évité une sanction lors de sa comparution devant la Commission des sanctions en juillet 2023, l’AFLD a contesté cette décision en faisant appel.
Ainsi, Mouhamadou Fall se retrouve à nouveau devant le Conseil d’État ce mardi pour défendre son cas. Dans cette affaire, il risque toujours une suspension de deux ans. La situation du sprinteur reste incertaine alors qu’il navigue à travers les complexités juridiques et les défis liés à la réglementation antidopage.
