Les services de haut débit de Starlink avaient été interdits en mars dernier. Le Burkina Faso, la Côte d'Ivoire ou encore le Tchad avaient pris des dispositions similaires. En raison de l'absence d'homologation de l'entreprise dans ces pays, son utilisation était considérée comme illégale. Au Mali, les autorités de transition déploraient aussi son utilisation par des groupes armés. Mercredi 9 octobre, en Conseil des ministres, Bamako est finalement revenu sur sa décision.