Dans un mois, la conférence annuelle de l’ONU sur le climat s’ouvre dans un pays où exprimer des positions critiques à l’égard du pouvoir en place peut valoir la prison. La pression sur les militants des droits de l’homme, les journalistes et, dans une moindre mesure, sur les défenseurs de l’environnement, s’est accrue depuis que Bakou s’est vue attribué, en décembre 2023, l’organisation de la COP29, alors que Bakou venait de récupérer par la force le territoire du Haut-Karabagh.