Les libertés d’expression et d’opinion s’étiolent de plus en plus en Tunisie à quelques mois de la présidentielle qui doit se tenir le 6 octobre 2024. C’est le constat fait par l’association Intersection dans un rapport présenté fin juillet 2024. Cette ONG qui travaille sur les droits humains et les libertés a recensé les cas connus d’emprisonnement pour opinion en Tunisie depuis janvier 2024. Le bilan est accablant.