Depuis la réélection contestée de Nicolas Maduro, le 28 juillet, au moins une dizaine de personnes ont été tuées dans des manifestations dans le pays, notamment à Caracas. Les violences, commises par les forces de l’ordre et des groupes armés, ont fait plus d’une centaine de blessés et la cheffe de l’opposition a dénoncé « l'escalade cruelle et répressive du régime ». Au moment où le pouvoir essaie de garder le contrôle du pays, y compris par la peur, les groupes armés « colectivos » jouent le rôle d'alliés.