En Russie, le Front national puis le Rassemblement national a toujours eu les faveurs du Kremlin. Et dans les médias d’État, Marine Le Pen, tout comme sa nièce Marion Maréchal sont toujours présentées avec bienveillance. Reste que la dissolution a été accueillie avec une grande surprise et que les législatives ne rencontrent pas d’écho particulier à ce stade. « Nous allons suivre tout cela avec attention, d'autant plus qu'on mesure l'attitude extrêmement inamicale, voire hostile, des dirigeants français à l'égard de notre pays » : c’est le seul commentaire du porte-parole du Kremlin au lendemain de l’annonce d’élections législatives en France. Depuis, officiellement, silence radio.