En Libye, la confusion règne concernant la gestion des hydrocarbures, du côté du gouvernement de Tripoli, reconnu par la communauté internationale : le ministre du Pétrole et du gaz a été officiellement rétabli dans ses fonctions après en avoir été suspendu. Problème : le Premier ministre considère que son remplaçant, un sous-secrétaire, a toujours autorité sur le secteur pétrolier qui représente 95% du budget de l'État.