Il y a un an, le 7 octobre 2023, un massacre de civils, organisé par le Hamas et ses soutiens, s’abattait sur les environs de la bande de Gaza, dans le sud d’Israël. Lorsque le gouvernement Netanyahou prétend « éradiquer » Hamas ou Hezbollah, considérant comme légitime de raser hôpitaux et immeubles à Gaza ou à Beyrouth, tout ressemble à une pulsion de guerre totale, analyse Laurent Marchand, rédacteur en chef délégué à Ouest-France, en charge de l’international.