Laisser sa voiture au garage pour les petits trajets, manger moins de viande, diminuer son nombre de voyages en avion… Les actions individuelles pour lutter contre la crise climatique, certains les vivent comme des injonctions culpabilisantes, d’autres comme une nécessité. Mais entre convictions et réalité du quotidien, pas toujours facile de trouver l’équilibre. Ni même l’envie d’agir parfois. Quatre Françaises et Français racontent leur rapport, bien différent, aux petits gestes écolos.