Les députés ont adopté jeudi 23 mai des objectifs pour l’avenir de l’agriculture française, tels qu’un nombre minimum d’exploitations ou la nécessité d’une réforme fiscale : ils sont divisés sur la place du financement privé dans la gestion des terres. Plus de 900 amendements restaient à examiner, alors que l’examen du texte doit en principe s’achever vendredi soir.