Dans un film dur et droit, entre l’asphalte et le ciel, Boris Lojkine raconte un jeune clandestin, un livreur sans visage que l’on croise sans jamais le voir vraiment. Abou Sangare, acteur exilé, sans-papiers comme son personnage, habite l’écran avec une intensité rare. Il est déchirant. En salle ce mercredi.