« Le judo, c’est le respect de l’adversaire, l’humilité et la persévérance. Le Judo c’est une maîtrise de la force. Le judo dans une école de la République, c’est le plus beau mariage que l’on pouvait faire ».
Ce samedi 14 septembre, l’inauguration du dojo solidaire Henri-Gérard, dans l’école du même nom à Brive, était forte en symbole pour le préfet de la Corrèze Etienne Desplanques. Pour la ville de Brive, il s’agit du deuxième dojo de ce type ouvert en l’espace de quelques mois, après celle de l’école Lucie-Aubrac à Rivet, et avant un projet à venir dans le quartier de Tujac.
Un deuxième dojo solidaireUn développement des structures qui s’inscrit dans le cadre du plan national de l’État visant à développer 5.000 infrastructures sportives, et de sa déclinaison au niveau de la Fédération française de Judo avec l’opération « 1.000 dojos solidaires ».
C'est quoi, ce "dojo solidaire" inauguré dans une école de Brive
Le coût de cette nouvelle salle, mise à disposition de l’ASPO, s’élève à 57.000 euros, financés à 80 % par l’ANS (agence nationale du sport) et à 20 % par France judo. Avec la Haute-Vienne, la Corrèze est le département de France qui a le plus profité de ce plan de 1.000 dojos en France.D’autres structures de ce type ont vu le jour à Saint-Viance et Bort les Orgues. D’autres sont à l’étude, notamment en Haute Corrèze.
Pierre Vignaud
