Placée sous l’égide de l’office de tourisme, la sixième édition de Therm’Auvergne Classic a vu quatorze voitures d’ancienneté diverse et vingt-huit personnes, chauffeurs et passagers se retrouver place de la République, samedi matin.
La station thermale climatique de La Bourboule a été choisie cette année comme objectif de ces deux journées de promenade automobile, soit 300 km environ. La première étape a consisté à déjeuner à l’auberge « Taraffet » de Picherande, suivi d’un passage à Avèze avant d’arriver à La Bourboule pour la visite de la Maison Rozier, ancienne pâtisserie préservée dans son style d’antan.
« Avec ses six cylindres, elle atteint gaillardement 120-130 km/h »Les voitures ont été exposées au regard du public et des passionnés. Une fois le dîner pris et le coucher réparateur, les participants ont repris la route de Néris avec une arrivée, dimanche, aux alentours de midi, pour un dernier déjeuner.
Rejoint par une douzaine d’autres véhicules, l’ensemble a été disposé sur l’esplanade du casino pour satisfaire la curiosité du public de 15 heures à 18 heures. Parmi les participants, on n’a pas pu ne pas remarquer la magnifique Mercedes décapotable 220 A Adenauer de 1952, propriété récente de Philippe Vezzosi. « C’est une superbe automobile, toutes pièces d’origine, dont seulement 1.320 exemplaires ont été construits et commercialisés ».
« Avec ses six cylindres, elle atteint gaillardement 120-130 km/h. Je n’ai pas de problème de carburant car j’utilise du 98 avec additif. Son état est remarquable avec de l’érable moucheté sur le tableau de bord, un volant en bakélite et la sellerie en cuir. Un vrai bijou qui a quand même un prix ! ».
