Symbole de la fascination pour l’Inde dans les années 1970, la ville utopique d’Auroville, dédiée à l’écologie et la spiritualité, n’est plus que l’ombre d’elle-même. En cause, un plan de croissance urbaine imposé brutalement par le gouvernement à sa communauté de doux rêveurs, contraints à l’obéissance ou à l’exil.