Cinq personnes étaient jugées mercredi 4 septembre à Paris pour avoir diffusé en novembre dernier des messages haineux ou avoir dévoilé les noms et adresses de suspects après la mort de Thomas 16 ans dans un bal de village dans la Drôme. Une audience au cours de laquelle les prévenus ont notamment tenté d’expliquer avoir voulu dévoiler une « vérité » que les autorités voulaient cacher