En Chine, les 12 millions de catholiques chinois restent une cible privilégiée du Parti communiste. Six ans après l’accord entre le Vatican et Pékin et alors que le Saint-Siège a tendu la main à la Chine lors d’un colloque mardi 21 mai, les catholiques, officiels comme clandestins, ont un sentiment d’abandon, car la situation s’est profondément « dégradée » avec Xi Jinping.