Ils étaient plusieurs centaines vendredi soir dans les rues de Tunis, la capitale tunisienne, pour protester contre le chef de l’État. Lors du scrutin qui se tient dimanche, Kaïs Saïed n’affrontera que deux adversaires, dont l’un est en prison. L’opposition et la société civile l’accusent d’avoir truqué le jeu à son profit.