Les dirigeants druzes de Majdal Shams ont fait savoir qu'ils rejetaient l'idée de riposte annoncée par Israël après un tir de roquette samedi qui a coûté la vie à 12 jeunes dans cette ville du Golan syrien occupé par Israël. Au cours d'une visite lundi sur le site de l'attaque, le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, a promis "réponse sévère" à cette attaque à la roquette tirée selon Israël depuis le Liban par le mouvement islamiste Hezbollah, soutenu par l'Iran. Le Hezbollah a nié être à l'origine du tir. L'analyse de Jean-Loup Samaan, chercheur et expert associé à l'Institut Montaigne.