Fin juin, le Conseil d’État, dans deux arrêts distincts, déclarait illégales les décisions, d’une part de la ministre wallonne du Patrimoine de déclasser le kiosque à musique, d’autre part du fonctionnaire-délégué d’accorder, après destruction de l’édicule, un permis de régularisation. La Ville contre-attaque: elle ne modifiera pas d’un iota son projet. Le kiosque disparaîtra bien de la place du Marché, où il n’a plus sa place, mais il n’est pas exclu, selon le borgmestre, qu’il soit reconstruit ailleurs. ...
